Revalorisation des carrières des enseignants‑chercheurs et attractivité

Dans le cadre la Loi de Programmation Pluriannuelle pour la Recherche, le Sgen-CFDT souhaite qu'une attention particulière soit portée à la situation des enseignants-chercheurs dont la diversité des missions n'est pas reconnue dans la progression de carrière.

Dans le cadre la prochaine Loi de Programmation Pluriannuelle pour la Recherche, une délégation CFDT a été reçue le 23 mai 2019 au ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche par le groupe de travail n°2 traitant de l’attractivité des emplois et des carrières scientifiques. À cette occasion, le Sgen-CFDT a souhaité porter une attention particulière à la situation des enseignants-chercheurs (EC), en particulier à celle des maître.sse.s de conférences (MCF). Pour le Sgen-CFDT, le projet de loi de programmation pluriannuelle pour la recherche doit être une occasion d’avancer concrètement sur plusieurs mandats essentiels :

  • réduire les inégalités de traitement et de reconnaissance entre catégories ;
  • corriger les phénomènes de plafond de verre ;
  • reconnaître l’engagement dans l’ensemble des missions autres que la seule activité de recherche et de publication.

La carrière universitaire souffre d’un manque d’attractivité qui s’explique à la fois par l’indigence du niveau des rémunérations et par un manque criant de reconnaissance de certaines missions dans le déroulé de carrière. Alors que la charge des enseignants-chercheurs ne cesse de s’accroître, leur carrière se joue sur la seule activité de publication (I). Pour redonner du sens et de l’attrait à l’exercice du métier dans la multiplicité de ses facettes, la reconnaissance de la diversité des missions doit se traduire par la possibilité d’accéder aux corps et grades les plus élevés (II).

I/ Constats

Des missions toujours plus nombreuses

Il est communément admis que les enseignants-chercheurs ont une double mission d’enseignement et de recherche. Mais les missions qui leur incombent sont en réalité bien plus étendues. L’article 2 du Décret n°84-431 du 6 juin 1984, précise qu’ils concourent à l’accomplissement des missions du service public de l’enseignement supérieur prévues par l’article L. 123-3 du code de l’éducation et des missions de la recherche publique telles que mentionnées à l’article L. 112-1 du code de la recherche.

En 2009, ces missions ont été complétées par l’ajout de certaines dispositions découlant de la Loi relative aux Libertés et Responsabilités des Universités (LRU), notamment en ce qui concerne le tutorat et l’insertion professionnelle des étudiants, l’usage des TIC ou encore l’expertise engendrée par la création d’agences telles que l’AERES ou l’ANR.

L’article 3 dudit décret détaille ainsi les missions des EC :

  • Les enseignants-chercheurs participent à l’élaboration, par leur recherche, et assurent la transmission, par leur enseignement, des connaissances au titre de la formation initiale et continue incluant, le cas échéant, l’utilisation des technologies de l’information et de la communication.
  • Ils assurent la direction, le conseil, le tutorat et l’orientation des étudiants et contribuent à leur insertion professionnelle.
  • Ils organisent leurs enseignements au sein d’équipes pédagogiques dans tous les cursus universitaires et en liaison avec les milieux professionnels. Ils établissent à cet effet une coopération avec les entreprises publiques ou privées. 
  • Ils concourent à la formation des maîtres et à la formation tout au long de la vie
  • Ils ont également pour mission le développement, l’expertise et la coordination de la recherche fondamentale, appliquée, pédagogique ou technologique ainsi que la valorisation de ses résultats.
  • Ils participent au développement scientifique et technologique en liaison avec les grands organismes de recherche et avec les secteurs sociaux et économiques concernés.
  • Ils contribuent à la coopération entre la recherche universitaire, la recherche industrielle et l’ensemble des secteurs de production. 
  • Ils participent aux jurys d’examen et de concours. Ils contribuent au dialogue entre sciences et sociétés, notamment par la diffusion de la culture et de l’information scientifique et technique. Ils peuvent concourir à la conservation et l’enrichissement des collections et archives confiées aux établissements et peuvent être chargés d’activités documentaires. 
  • Ils contribuent au sein de la communauté scientifique et culturelle internationale à la transmission des connaissances et à la formation à la recherche et par la recherche. Ils contribuent également au progrès de la recherche internationale.
  • Ils peuvent se voir confier des missions de coopération internationale. 
  • Ils concourent à la vie collective des établissements et participent aux conseils et instances prévus par le code de l’éducation et le code de la recherche ou par les statuts des établissements. 

Toutefois, malgré la richesse des missions qui leur sont statutairement assignées -ce qui devrait continuer de s’affirmer avec la mise en place des lois ORE et LCAP, la carrière des EC se joue presque exclusivement sur leur activité de recherche, et plus précisément de publication.

En 2015, un rapport de l’IGAENR citait une étude du Collège de France portant sur un suivi de cohorte au long cours. Il apparaît qu’après 20 ans de carrière, 26,5 % des individus observés sont toujours MCF de classe normale, 26% sont passés à la hors classe de ce corps et 47,5% sont devenus professeurs.

Bien que les sections du Conseil national des universités (CNU) revendiquent de tenir compte d’une implication significative dans les autres activités de l’EC (pédagogie, responsabilités collectives, etc.), l’ensemble des études et rapports s’intéressant à la carrière des EC montre une très forte survalorisation de la recherche, en particulier pour l’accès au corps des professeurs.

Une dérive bibliométrique qui détourne des autres missions

À l’origine, la bibliométrie est un sous-ensemble de la scientométrie mais depuis les années 1970 que se développent les politiques publiques de la recherche, elle est progressivement devenue un outil universel d’évaluation des chercheurs et des enseignants-chercheurs sans qu’il soit tenu compte, pour ces derniers, du fait que leurs missions soient très diverses. À partir des années 2003-2005, la dérive bibliométrique touche à son paroxysme avec l’apparition de deux nouveaux outils qui vont rapidement imposer une standardisation de portée mondiale :

– Le classement dit « de Shanghai » des cinq cents « meilleures » universités établi à partir de 2003 par l’université Jiao Tong auquel les décideurs se réfèrent pour fonder des décisions stratégiques visant à améliorer la position de leur établissement dans la hiérarchie ;

– L’invention en 2005, de l’indice h – ou h index– par le physicien américain Jorge E. Hirsch : cet indice a pour but de quantifier la productivité et l’impact d’un scientifique en fonction du volume et du niveau de citation de ses publications.

Il convient d’ajouter que l’évolution du financement de la recherche par des crédits obtenus sur appels à projets, a sans doute accentué le mouvement de survalorisation de l’activité de publication au détriment de toutes les autres.

Dans ces conditions, comme le rapporte l’IGAENR, il est logique que les observateurs les plus avisés notent que les jeunes EC s’impliquent prioritairement dans le volet recherche de leur mission, et que, parallèlement, l’accroissement de la concurrence entraîne une stigmatisation des EC les moins performants en recherche (IGAENR, 2015, pp. 81-82).

Une rémunération et des perspectives de carrières peu attractives

Un enseignant-chercheur recruté comme maitre de conférences à l’âge de 34 ans en moyenne, débutera généralement au 2ème échelon de la classe normale (Indice 525, soit 1993€ nets) grâce à la reprise d’une partie de son parcours antérieur.  Il sera donc embauché à 1,6 fois le SMIC alors qu’il doit justifier d’au moins 8 années d’études supérieures sanctionnées par un Doctorat.

Ses perspectives d’évolution de carrière ne seront guère réjouissantes puisqu’il pourra espérer accéder à la hors-échelle A (HEA) en 21 ans minimum, à condition qu’il ait franchi le cap de l’avancement de la classe normale à la hors-classe qui se fait au choix. C’est-à-dire à l’âge de 55 ans, au mieux, s’il est resté dans le corps des MCF. Un agrégé accédera, quant à lui, à la HEA en 23 ans s’il a bénéficié de 2 accélérations de carrière (en 25 ans au mieux sans accélération), soit à l’âge de 48 ou 50 ans puisqu’il aura été recruté à l’âge de 25 ans.

La durée de la thèse de doctorat, qui est de 3 ans au minimum -et qui n’entre pas nécessairement dans le décompte d’ancienneté alors que les années d’études à l’ENS sont reprises-, apparaît comparativement comme une pénalité qui dure tout au long de la carrière.

Certes, le passage dans le corps des professeurs d’université lui offrirait un débouché plus favorable mais cela ne concerne que 47,5% des cas (cf. enquête de l’IGAENR citée supra). En 2015, 26% des MCF qui sont partis en retraite étaient bloqués au dernier échelon de la classe normale ! Le ratio promouvables / postes ne devrait pas offrir beaucoup plus de possibilités à l’avenir, bien au contraire.

Et quand bien même serait-il devenu professeur des universités, notre MCF n’aurait pas pu accéder à la HEA avant l’âge de 52,7 ans, en moyenne !

L’enjeu de la reconnaissance de la diversité des missions dans la progression de carrière des enseignants-chercheurs est donc double : il s’agit à la fois de remobiliser celles et ceux qui ont de l’expérience et des compétences dans les multiples facettes que recouvre leur métier et de revaloriser l’ensemble des missions d’intérêt général auprès de la jeune génération. Pour ce faire, il faut que l’engagement dans toutes les missions soit pleinement reconnu et qu’il offre des perspectives de carrière aussi gratifiantes que celles qui sont assurées par l’activité de publication.

II/ Propositions

Reconnaître la diversité des missions pour la progression de carrière des EC revient à s’interroger sur les différentes voies d’accès possibles aux corps et grades les plus élevés. Autrement dit, il s’agit d’offrir aux MCF une réelle perspective de carrière en corrigeant les phénomènes de plafond de verre.

Les femmes sont particulièrement touchées par ce phénomène puisque la part des promues décroit avec la progression des avancements de grade : de la hors classe des MCF où elles sont 46,7%, au 2ème échelon de la classe exceptionnelle des professeurs où elles ne représentent plus que 16,9% des promus (source : DGRH, 2016).

Ajuster les mesures PPCR

Dans le cadre de la négociation du Protocole Parcours, Carrières et Rémunération (PPCR), plusieurs propositions ont été formulées par les organisations syndicales concernant la revalorisation de carrière mais certaines n’ont pas été retenues.

Ainsi, il s’agirait de :

  • transformer l’échelon spécial qui a été ajouté dans le cadre de PPCR en 7ème échelon de la hors classe des MCF. L’accès à l’indice HEB serait ainsi décontingenté sur le modèle de ce qui a été mis en place pour la 2ème classe des professeurs ;
  • abaisser la durée du 5ème échelon de la HC des MCF et de la 2ème classe des PR (IM 830) à 3 ans, comme prévu pour les grilles cibles (2020) des PRAG ou des IGR, et pour coller à la situation actuelle des administrateurs civils.

Revaloriser les grilles indiciaires

Une idée pourrait être de calquer la grille indiciaire du corps actuel des MCF sur celle des administrateurs civils (deux premiers grades) : indice sommital de la hors classe à la HEB bis par création de 2 échelons supplémentaires : un 7ème échelon à la HEB (cf. point II.1.) + un échelon spécial à la HEB bis. L’accès à cet échelon spécial pourrait se faire au choix, selon le modèle de la procédure d’avancement spécifique et avec un cadrage des fonctions et responsabilités pédagogiques à valoriser.

L’alignement des grilles des EC sur celles des administrateurs est une proposition ancienne (L. Jospin). Dans les années 90, les grilles de MCF et d’administrateurs étaient identiques avec un indice sommital à la HEA. Depuis, seul une partie des premiers pourront prétendre accéder à la HEB via le nouvel échelon spécial contingenté alors que les seconds passent automatiquement à la HEB bis.

Fusionner les corps de MCF et professeurs

Si l’organisation en deux corps distincts a longtemps semblé faire consensus, elle ne semble pas très adaptée à une reconnaissance équitable de l’engagement des enseignants-chercheurs dans la diversité des missions qui leur sont confiées. D’ailleurs, l’égalité de vocation entre les deux corps est globalement devenue la règle. Le corps des MCF n’est plus le supplétif des professeurs de faculté, comme ce fut le cas à l’origine de sa création, au XIXème siècle.

Depuis lors, la massification de l’enseignement supérieur tout comme l’ensemble des développements précédents plaident plutôt en faveur de la constitution d’un corps unique, ce qui fut déjà fait entre 1979 et 1984 par l’intégration et le reclassement des MCF dans le nouveau corps des professeurs des universités.

Fluidifier les carrières grâce à la mobilité

La CFDT est attachée au droit de tout fonctionnaire à une mobilité choisie, géographique ou fonctionnelle. Mais les demandes de mutation des enseignants-chercheurs aboutissent peu : selon les bilans sociaux produits par le ministère, moins d’un quart des maîtres de conférences (MCF) voient leur demande de mutation satisfaite, et moins de la moitié des professeurs d’université.

Ce faible taux de mutation a des conséquences sociales souvent lourdes pour les MCF, car cela entrave leur évolution personnelle et professionnelle. En effet, la mobilité qui s’effectue le plus souvent lors du changement de corps (de MCF à PU) ne peut bénéficier à tous.
Or, il est inévitable qu’en dix, quinze ou vingt ans de carrière, la plupart des EC voient leur situation familiale changer, ou s’engagent dans de nouvelles thématiques scientifiques pour lesquelles un changement d’équipe de recherche et donc de lieu s’impose.

Afin de fluidifier les carrières, il est nécessaire de mettre en œuvre une véritable procédure de mutation pour les enseignants-chercheurs via un mouvement spécifique et distinct de la campagne synchronisée de recrutement. Les modalités de cette procédure de mutation ont été élaborées dans le cadre de l’agenda social et approuvées à l’unanimité du Comité technique des personnels de statut universitaire (CTU) en février 2016.

Tout savoir

Ce que le Sgen-CFDT peut vous apporter...

Découvrez l'ensemble des services du Sgen-CFDT sur la toile !

Aix-Marseille - Sgen-CFDT Provence-Alpes

SGEN-CFDT - 18, rue Sainte - 13001 MARSEILLE
Tel: 04.91.55.53.52
E-mail : provencealpes@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Amiens - Sgen-CFDT Picardie

SGEN-CFDT - 52 rue Daire 80000 AMIENS
Tel : 03 22 92 84 40
E-mail : amiens@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Besançon - Sgen-CFDT Franche Comté

SGEN-CFDT - 4 bis rue L. de Vinci - 25000 BESANCON
Tel : 03.81.25.30.10
Fax : 03.81.25.30.01
E-mail : besancon@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Bordeaux - Sgen-CFDT Aquitaine

Sgen-CFDT - 8, rue Théodore Gardère - 33080 BORDEAUX Cedex
Tel : 05.57.81.11.40
E-mail : bordeaux@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Clermont-Ferrand - Sgen-CFDT Auvergne

Sgen-CFDT - Maison du Peuple - Place de la Liberté - 63000 CLERMONT FERRAND
Tel : 04.73.31.90.87
E-mail : clermont-ferrand@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Corse - Sgen-CFDT Corsica

Sgen-CFDT - Corsica - Maison des syndicats - Rue du Castagno - 20200 BASTIA
Tel : 06 15 13 68 87 pour le 2A / 06 78 97 29 05 pour le 2B
E-mail : corsica@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Créteil - Sgen-CFDT de l'Académie de Créteil

Sgen-CFDT - 11-13, rue des Archives - 94010 CRÉTEIL Cedex
Tel : 01.43.99.58.39
E-mail : creteil@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Dijon - Sgen-CFDT Bourgogne

Sgen-CFDT - 6 bis rue Pierre Curie - 21000 DIJON
Tel : 03.80.30.23.54
E-mail : bourgogne@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Grenoble - Sgen-CFDT de l'Académie de Grenoble

Sgen-CFDT - Bourse du travail, 32 avenue de l'Europe -38030 GRENOBLE Cedex 02
Téléphone : 04 76 40 31 16
grenoble@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Sup-Recherche Grenoble

Sgen CFDT,
Bâtiment A de Physique, BP 53, 38041 Grenoble Cedex 9.
Téléphone : 04 76 51 47 22 (téléphone et répondeur)
sgencfdt@grenoble.cnrs.fr
Accéder au site internet

Guadeloupe - Sgen-CFDT Guadeloupe

Sgen-CFDT - 104 immeuble Les Chicanes - 97139 GRAND CAMP ABYMES
Mél : guadeloupe@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Guyane - Sgen-CFDT Guyane

Sgen-CDTG-CFDT - 99-100 Cité Césaire - BP 383 - 97328 CAYENNE Cedex
Tel : 05.94.31.02.32
Mél : guyane@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Lille - Sgen-CFDT Nord Pas-de-Calais

Sgen-CFDT - 145, rue des Stations - 59800 LILLE
Tel : 03 20 57 81 81
Mél : lille@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Limoges - Sgen-CFDT Limousin

Sgen-CFDT - 32, rue Adolphe Mandonnaud - BP 63823 - 87038 LIMOGES Cedex 1
Tel 1 : 06 61 43 43 36
Tel 2 : 06 61 42 38 23
Tel 3 : 06 72 17 33 22
E-mail : limoges@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Lyon - Sgen-CFDT de l'Académie de Lyon

Sgen-CFDT - 214, avenue Félix Faure - 69441 LYON Cedex 03
Tel : 04.78.54.17.66
E-mail : lyon@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Martinique - Sgen-CFDT Martinique

SGEN CFDT - Maison des syndicats, boulevard du Général de Gaulle - 97200 FORT DE FRANCE
Tel : 06 96 94 97 96
(Attention, -6h de décalage horaire avec la métropole)
Mél : martinique@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Mayotte - Sgen-CFDT Mayotte - CISMA

SGEN-CISMA - 32 rue Marindrini, BP 1038 - 97600 MAMOUDZOU (Mayotte)
tél. : 06 39 01 41 06
Mél : mayotte@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Montpellier - Sgen-CFDT Languedoc-Roussillon

Sgen-CFDT - Maison des Syndicats, 474 allée Henry II de Montmorency - 34000 MONTPELLIER
Tel : 04 67 65 60 64
E-mail : montpellier@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Nancy-Metz - Sgen-CFDT Lorraine

Sgen-CFDT - 6, Rue Mon Désert - 54000 NANCY
Tel : 03.83.39.45.15
E-mail : lorraine@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Nantes - Sgen-CFDT Pays de Loire

Sgen-CFDT - 9 Place de la Gare de l'État - Case poste n° 9 - 44276 NANTES Cedex 2
Tel : 02.51.83.29.30
E-mail : nantes@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Nice - Sgen-CFDT de l'Académie de Nice

Sgen-CFDT - 12, boulevard du général Louis Delfino - 06300 NICE
Tel : 04.93.26.35.48
E-mail : nice@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Normandie - Sgen-CFDT Normandie

SGEN-CFDT - 2, rue du Général Decaen - 14000 CAEN
Tel :02.31.82.60.61
E-mail : normandie@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Nouvelle-Calédonie - SOE Nouvelle Calédonie

SOENC Enseignement - BP 2534 - 98846 NOUMÉA Cedex
E-mail : soenc@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Orléans-Tours - Sgen-CFDT Orléans-Tours

Sgen-CFDT - 10 rue Théophile Naudy - 45000 ORLEANS
Tel : 02.38.22.38.59 et 06.83.81.78.34
E-mail : orleans-tours@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Paris - Sgen-CFDT Paris

Sgen-CFDT - 7/9, rue Euryale Dehaynin - 75019 PARIS
Tel : 01.42.03.88.86
E-mail : paris@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Poitiers - Sgen-CFDT Poitou-Charentes

Sgen-CFDT - Maison du Peuple - 21bis-23, rue Arsène Orillard - 86035 POITIERS Cedex
Tel : 05.49.88.15.82
E-mail : poitou-charentes@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Polynésie - Confédération TMAC-SGEN – A TI’A I MUA

TMAC-SGEN – A TI’A I MUA - Immeuble Galliéni, rue Clapier - BP 4523 - 98713 PAPEETE, TAHITI (Polynésie Française)
tél. 00 689 40 54 40 10
E-mail : syndicat_tmac@yahoo.fr
Accéder au site internet

Reims - Sgen-CFDT Champagne-Ardenne

Sgen-CFDT - Maison des Syndicats 15 Bd de la Paix BP 1368 - 51063 REIMS Cedex
Tel : 09 63 65 46 32
Fax : 03.26.77.69.99
E-mail : reims@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Rennes - Sgen-CFDT Bretagne - Breizh

Sgen-CFDT - 10 bd du Portugal - CS 10811 35208 RENNES CEDEX 2
Tel : 02.99.86.34.63
E-mail : bretagne@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

La Réunion - Sgen-CFDT Réunion

Sgen-CFDT - 58, rue Fénelon - 97400 SAINT DENIS
Tel : 02.62.90.27.72
Fax : 02.62.21.03.22
E-mail : reunion@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Strasbourg - Sgen-CFDT Alsace

(Académie de Strasbourg)
à Strasbourg,
Sgen-CFDT - 305 avenue de Colmar BP 935 - 67029 STRASBOURG Cedex 1
Tel : 03 88 79 87 77 ou 03 88 79 87 61
E-mail : 67@sgen.cfdt.fr
à Mulhouse,
Sgen-CFDT - 1 Rue de Provence 68090 MULHOUSE CEDEX
Tél : 03 89 31 86 66
E-mail : 68@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Toulouse - Sgen-CFDT de l'Académie de Toulouse

Sgen-CFDT - 3 chemin du pigeonnier de la Cépière - Bât C 31100 TOULOUSE
Tel : 05.61.43.71.56
E-mail : toulouse@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Versailles - Sgen-CFDT de l'Académie de Versailles

Sgen-CFDT - 23 Place de l'Iris, 92 400 COURBEVOIE [MÉTRO ESPLANADE DE LA DÉFENSE]
tel : 01 40 90 43 31
E-mail : versailles@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Sgen-CFDT de l'Étranger

Pour les personnels travaillant à l'étranger :
AEFE, Instituts Culturels
47-49, avenue Simon Bolivar - 75950 PARIS Cedex 19
Tel : 01.56.41.51.20
Fax : 01.56.41.51.11
E-mail : etranger@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Sgen-CFDT Recherche - EPST

Campus de Villejuif - Bat. 1
7 rue Guy Moquet BP 8 94801 VILLEJUIF Cedex
Tel : 01.49.58.36.38 ou 01.49.58.36.66
E-mail : contact@epst-sgen-cfdt.org
Accéder au site internet

Sgen-CFDT des Administrations Centrales MEN et MESR

Pièce 162 110 rue de Grenelle 75007 Paris
Tel : 01 55 55 13 85
E-mail : sgencfdt.syndicat-ac@education.gouv.fr
Accéder au site internet

Syndicat National des Médecins de Santé Publique de l'Éducation Nationale

SNAMSPEN/Sgen-CFDT 47/49 avenue Simon Bolivar 75950 PARIS Cedex 19
Tel : 01 56 41 51 00
E-mail : snamspen@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Syndicat des Travailleurs de la Recherche Extra-Métropolitaine

Créé par des agents de l'IRD pour tout le personnel de l'IRD.
STREM-Sgen-Cfdt, IRD – Permanence STREM
911, avenue Agropolis BP 64501 34394 Montpellier
Tél : 33 (0)4 67 41 51 15
E-maill : strem-sgen-cfdt@ird.fr
Accéder au site internet

Site de l'Irea-Sgen-CFDT, Institut de recherches, d'études et d'animation

47-49, av. Simon Bolivar,
6ème étage
75950 Paris cedex 19.
Tél/fax. : 01 42 49 84 63
https://twitter.com/IreaSgenCfdt
Accéder au site internet

Espace militant

Le blog militant pour retrouver tous les outils indispensables à l'action syndicale..
Accéder au site internet

Sgen+

Le service d'information et de suivi de carrière de la fédération CFDT Éducation Formation Recherche Publiques
Accéder au site internet

Ressources professionnelles

Des outils clés en main pour les pratiques professionnelles de notre champ de syndicalisation
Accéder au site internet

Site de la CFDT

Le site de la CFDT : l'actualité syndicale et sociale.
Accéder au site internet

Site de la CFDT Education Formation Recherche Publiques

Le site de la fédération : les informations nationales.
Accéder au site internet

Site de la CFDT Fonctions Publiques

Le site de la CFDT Fonctions Publiques : pour tous les agents des trois Fonctions Publiques (État, territoriale et hospitalière).
Accéder au site internet

Site de la Fédération Formation et Enseignement Privés CFDT

Le site CFDT des personnels de la formation et de l'enseignement privé
Accéder au site internet

Site de Fédération générale de l'agroalimentaire CFDT

Le site de FGA-CFDT : les informations nationales.
Accéder au site internet

Le sgen-cfdt et vous

Nous contacter
Pour toutes questions, n'hésitez pas à nous contacter.
Nous écrire

 

Adhérer au SGEN-CFDT
L'adhésion, la seule ressource du syndicat !
En savoir plus
la CFDT Education Formation Recherche Publiques près de chez vous
Suivre la CFDT Education Formation Recherche Publiques sur les réseaux sociaux