Revue de presse
1 novembre 2018
AEF
Stéphane Leymarie (nouvellement Sgen-CFDT) estime que l’idée « n’est pas inintéressante ». « Profitons de cette concertation pour essayer de nous projeter au-delà des modèles existants », déclare-t-il. « L’idée d’une prime unique permettrait la reconnaissance de toutes les missions. Ce serait aussi l’occasion de déconstruire ce qui dysfonctionne dans la PEDR. »
(…) Stéphane Leymarie est lui aussi favorable à un système de reconnaissance plutôt que d’évaluation : « Pour la prime comme pour le CRRP, pourquoi attendre que les gens soient candidats ? Cela pourrait leur être proposé dans le cadre d’un suivi de carrière revitalisé. Cela permettrait d’agir sur le temps long de la carrière et non de rentrer dans un dispositif très court-termiste qui pourrait faire l’objet de stratégies de la part des acteurs. »
05 décembre
AEF
Élections professionnelles : que demandent les syndicats enseignants de la voie professionnelle ?
Sgen-CFDT :
– un service de formation professionnelle public ;
– un lycée polyvalent sans voie cloisonnée ;
– l’amélioration des conditions de travail ;
– une dynamique de dialogue social dans les établissements ;
– l’ouverture de classes de BTS en lycée professionnel ;
– des formations pour mettre en œuvre la réforme de la voie pro.
06 décembre
LE CAFÉ PÉDAGOGIQUE
Violence scolaire : Monologues au Sénat
Pour le Sgen Cfdt , C Nave Bekhti pointe surtout des problèmes systèmiques. Elle réfute la culture bisounours mais pointe le taux de turn over qui empêche la constitution d’équipes solides seules capables d’influencer le climat scolaire. Elle montre aussi que les violences interviennent souvent dans le temps interscolaire et donc que ce n’est aps qu’un problème de formation des enseignants. L’autonomie de l’établissement avec des postes à profil a déjà été essayé en vain. Au final il a fallu embaucher des contractuels sur des poste de référents éducation prioritaire.
TOUT ÉDUC
Le SGEN-CFDT dénonce une « réforme du lycée bâclée » et à ce titre des « incohérences majeures » qui expliquent, selon lui, l’ « inquiétude légitime », tout comme « l’absence de mesures significatives pour améliorer et mieux accompagner des parcours d’études et de formation des jeunes » et des messages dévalorisants pour la jeunesse, à l’instar du « discours persistant sur le niveau qui baisse et la supposée perte des valeurs républicaines » ou encore « la mise en œuvre d’un service national universel coûteux ».
LE POINT, BFM TV, L’OBS, LE SOIR, RFI, CNEWS, POLITIS, 20 MIN, EUROPE 1, LA CROIX, OUEST-FRANCE, LE PROGRÈS, SWISS INFO, EST RÉPUBLICAIN (AVEC AFP)
Lycées: nouvelle journée de mobilisation, plusieurs incidents
Plusieurs syndicats (FO, Sgen-CFDT) ou la fédération de parents d’élèves FCPE demandent au ministre d' »entendre » les revendications exprimées par les lycéens.
LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE
Risques de violences dans les lycées: un syndicat interpelle le rectorat
Face à l’émergence d’actes de violence en marge des mobilisations lycéennes, le Sgen- CFDT demande à la rectrice d’envisager, si besoin et par sécurité, la fermeture des établissements qui pourraient être touchés.
Voici, en intégralité, le courrier que le Sgen-CFDT a adressé, ce jeudi à la Rectrice de l’académie d’Orléans-Tours en réaction aux éventuels débordements des mobilisations lycéennes [LIEN].
AEF
De son côté, le Sgen-CFDT en « appelle au calme et à la retenue » mais estime qu’une réponse politique est « nécessaire et urgente ». Selon l’organisation, les messages politiques délivrés sont « dévalorisants pour la jeunesse » et « certains choix ne sont pas à la hauteur d’une politique ambitieuse de la jeunesse ». Et d’énoncer notamment « l’absence de mesures significatives pour améliorer et mieux accompagner des parcours d’études et de formation des jeunes » ou encore une « réforme du lycée bâclée ».
AEF
Rappelant son opposition à la hausse des droits d’inscription des étudiants extracommunautaires, le Sgen-CFDT condamne « les blocages en cours dans certaines universités », dans un communiqué envoyé le 6 décembre 2018. Selon le syndicat, ils « pénalisent au final les étudiants les plus fragiles parmi lesquels on compte aussi des étudiants étrangers » et « donnent à voir une image très négative de l’université ». Le Sgen-CFDT « en appelle à la raison et au calme ».