Revue de presse
La Presse de la Manche
01 avril
Grève de l’Éducation nationale le 2 avril : deux rassemblements dans la Manche
L’intersyndicale de la Manche CGT Educ, FNEC-FP FO, FSU, SGEN-CFDT, SUD Éducation et UNSA appelle donc aux actions suivantes dans le département : rassemblement à 10 h à Cherbourg, place Jacques Hébert ; rassemblement à 15 h à Saint-Lô, devant les locaux de la DSDEN.
La Voix du Nord
02 avril
Education nationale: pourquoi une nouvelle grève ce mardi contre les groupes de niveau au collège ?
Le SNES-FSU, le SNEP-FSU, le SGEN-CFDT, la CGT Educ’action, SUD, et FO appellent à la grève et à manifester ce mardi contre le choc des savoirs et les groupes de niveau en particulier, bien que le gouvernement ait en partie reculé.
Paris Normandie
02 avril
« Du fric, du fric, pour les services publics. » Le message des quelque 200 manifestants rassemblés place des Faïenciers à Rouen, mardi 2 avril, était très clair.
Dans le cadre d’un appel à la grève nationale, enseignants et syndicats, parmi lesquels le SNES-FSU, CGT, Sud-Rail, Sgen-CFDT et FO, ont fait savoir leur mécontentement à l’égard du « choc des savoirs » prévu pour la rentrée scolaire de 2024 qui prévoit notamment des cours de mathématiques et de français par groupes de niveau de la classe de 6ème à celle de 3ème.
Ouest France
02 avril
À Cherbourg, 150 personnes ont manifesté contre les groupes de niveaux au collège
La Provence
02 avril
Grève des enseignants : ce que contient le « choc des savoirs », décrié par les profs et les parents
Ce mardi, cette mobilisation sera relayée au niveau national par l’intersyndicale (FSU, Fnec-FP-Fo, CGT Éduc’action, Sud Éducation, Sgen-CFDT et CNT-SO) des personnels de l’Éducation nationale qui appelle à la grève pour « exiger l’abandon du Choc des savoirs, exiger des moyens pour l’école publique et un choc des salaires ».
Café Pédagogique
02 avril
École inclusive : les syndicats écrivent à la Ministre
Les organisations syndicales FSU, UNSA éducation, Sgen-CFDT, CGT éduc’action, SNALC et SUD éducation ont interpellé la ministre de l’Éducation nationale sur la question de l’école inclusive. Dans un courrier, les syndicats déplorent « qu’aucune véritable concertation n’a été engagée dans notre ministère sur l’école inclusive » alors que « le gouvernement s’entête à vouloir imposer coûte que coûte un acte 2 de l’école inclusive déconnecté des réalités du Service public et des attentes des personnels et élèves : la projet de création des ARE et la transformation des PIAL en pôle d’appui à la scolarité ne répondent pas actuellement aux besoins des élèves et des personnels ».
La Nouvelle République
02 avril
Grève de l’éducation à Poitiers : plus de 70 manifestants contre le choc des savoirs
Le week-end de Pâques n’a pas fait retomber la colère. Dans le cadre de la journée de grève nationale, plus de 70 enseignants et agents de l’Éducation nationale se sont réunis, mardi 2 avril 2024, vers 12 h 30, devant les grilles du rectorat de l’académie de Poitiers. Répondant à l’appel de l’intersyndicale éducation de la Vienne (SNES-FSU, CGT, FO, Sud, SGEN-CFDT et CNT-SO), les manifestants poursuivaient leur mobilisation contre « le choc des savoirs » souhaité par leur ministère de tutelle.
La Marseillaise
02 avril
Nouvelle journée de mobilisation contre le « choc des savoirs »
Ces actions sont portées par l’intersyndicale éducation des Bouches-du-Rhône, qui regroupe FSU, la Fnec-FP-FO, la CGT Éducation, SudEducation, le Sgen-CFDT, la CNT-SO et Unsa Éducation. Dans un communiqué ils listent les raisons de leur colère, parmi lesquelles le « manque de moyens de remplacement, manque de moyens pour l’inclusion, attaques contre la liberté pédagogique, caporalisation et multiplication des outils de contrôle des personnels ».
La Marseillaise
03 avril
Les profs défendent un collège pour tous
Nos élèves ne sont pas des moutons, on ne les triera pas. » Des Réformés à Saint-Charles, unis en intersyndicale, Snes-FSU, SNFOLC 13, Snuipp-FSU 13, Sud-Solidaires, CGT Éduc’action, CNT, Sgen-CFDT, les enseignants ont manifesté ce mardi 2 avril pour réclamer l’abandon du « choc des savoirs ».
Le Monde
04 avril
La liste « Ensemble, construisons l’avenir », emmenée par Estelle Iacona, présidente sortante de l’université Paris-Saclay, remporte 4 sièges au CA et se voit devancée de 2 sièges par la liste « Université humaniste, démocratique et écologique », qui soutient Yves Bernard, ancien directeur de Polytech, lors des élections aux conseils centraux dont les résultats ont été proclamés le 2 février 2024. Du côté des Biatss, la liste soutenant Estelle Iacona n’a pas été validée. Le SNPTES-Unsa remporte 2 sièges, la liste soutenue par le Sgen-CFDT et la liste UHDE ont un siège chacune.
Café Pédagogique
09 avril
Protection sociale complémentaire : l’accord est enfin signé
« Près de 10 mois de négociations ont abouti à un accord majoritaire sur la protection sociale complémentaire en santé et en prévoyance. Cela ouvre la voie à l’instauration d’un régime collectif de protection sociale complémentaire qui pourra concerner jusqu’à 3 millions de personnes : agents en activité, retraités, leurs ayant-droits. La signature de cet accord majoritaire de ce matin est donc une étape importante pour les personnels qui font vivre au quotidien le système public d’éducation, de formation et de recherche à l’échelle de trois périmètres ministériels et au HCERES », indique le Sgen-CFDT.
L’insoumission
16 avril
Près de 550 personnels de l’Éducation nationale, parents d’élèves et lycéens se sont réunis en soirée à Nantes, ce jeudi 11 avril, à l’initiative d’une large intersyndicale de l’Enseignement en Loire-Atlantique (CNT, Ferc-CGT, FNEC FP FO, FSU, Sgen-CFDT, Sud-Education, Unsa-Education), du Syndicat national lycéen 44 et des parents d’élèves (FCPE 44 et groupe WhatsApp des parents d’élèves 44). Au cœur de la mobilisation, la revendication de retrait du « choc des savoirs », des « groupes de niveau » et du « tri social ».
Aef Info
17 avril
Dominique Bruneau, secrétaire fédéral au Sgen-CFDT, voit dans cette procédure de labellisation « une atteinte à l’ingénierie pédagogique des enseignants. Les manuels sont aujourd’hui rédigés par des professionnels de l’éducation. Là, cela suppose que ces agents ne sont pas compétents, et que les enseignants ne sont pas en capacité de faire le choix de leur outil pédagogique ».
Les Echos
17 avril
Pacte enseignant : l’Éducation nationale présente un « bilan positif » très contesté
C’est « un succès ». Le ministère de l’Education nationale s’est félicité, mardi soir, d’un premier bilan « positif » du pacte enseignant, cet ensemble de missions supplémentaires proposées aux volontaires, notamment pour remplacer des professeurs absents, une priorité affichée par Emmanuel Macron .
Le taux de remplacement de courte durée « est passé de 5 à 15 % » et « la mise en place du pacte enseignant a significativement amélioré les choses », avait indiqué la ministre de l’Education nationale, Nicole Belloubet, le 3 avril, au Sénat. Mais sur quelles bases ont été calculés ces 5 % qui servent de référence ? Plusieurs syndicats évoquent des données « peu fiables ». « On fait dire aux chiffres ce qu’on veut », regrette encore Sylvie Perron en évoquant « l’impression d’avoir un bilan au doigt mouillé ».
Le Monde
18 avril
Les « groupes de niveau » contestés au Conseil d’Etat au nom de l’« autonomie » des établissements
Le SGEN-CFDT vient de déposer un recours devant la plus haute juridiction administrative, pour demander la suspension de l’arrêté de création des « groupes de niveau » au collège. Les syndicats veulent contourner la réforme en s’appuyant sur le code de l’éducation, qu’ils jugent en contradiction. C’est un nouveau moyen d’action pour le syndicalisme enseignant, plutôt coutumier des grèves et des manifestations. Jeudi 18 avril, le syndicat SGEN-CFDT a déposé, par l’intermédiaire de son avocat, une « requête sommaire » au Conseil d’Etat, dans laquelle il conteste la création, à la rentrée prochaine, de « groupes de niveau » en mathématiques et en français dans les collèges.
Aef Info
19 avril
Opposé aux groupes qui doivent être mis en place au collège à la rentrée prochaine, le Sgen-CFDT annonce avoir déposé un recours devant le Conseil d’État pour obtenir l’annulation de l’arrêté qui les organise, le 18 avril 2024. Selon le syndicat, ce texte « supprime l’autonomie des établissements », en « imposant la répartition des élèves en groupes », alors que les collèges « disposent d’une autonomie sur l’organisation de l’établissement en classes et en groupes d’élèves, ainsi que sur les modalités de répartition ».