Revue de presse
21 novembre
AEF
Réforme de la formation des enseignants : le gouvernement précise les modalités du concours et de l’alternance
Mais, pour Laurent Alexandre du Sgen-CFDT, « nous ne disposons pas d’éléments suffisants pour cela ». « On n’est pas plus avancés ! »
Toutefois, selon Laurent Alexandre, en charge de la question au Sgen-CFDT, « nous ne disposons pas d’éléments suffisants pour construire les maquettes : nous ne connaissons ni la durée des épreuves, ni leur contenu, ni leur coefficient… » .
Laurent Alexandre regrette également « encore une fois une approche segmentée de la formation des enseignants alors qu’il aurait été préférable de l’étudier dans sa globalité ».
AEF
Le Cneser supprime la référence à une réussite « d’au moins 70 % » des bacheliers technologiques en 1re année d’IUT
Le Sgen-CFDT se félicite, dans une déclaration écrite dédiée à la « filière technologique universitaire », que le projet de texte sur la LP ait été soutenu par la CPU et voté par l’Adiut et l’Unpiut. Parmi divers points, cette déclaration souligne l’enjeu de « reporter une partie des flux [de STS] vers les IUT », celui de « la collaboration des différentes filières de formation » dont la filière technologique, celui aussi de la fluidité des parcours…
AEF
LPPR : Emmanuel Macron prévoit « des annonces détaillées en début d’année prochaine »
Alors que le président de la République Emmanuel Macron reviendra le 26 novembre sur la future loi de programmation pluriannuelle de la recherche, à l’occasion des 80 ans du CNRS, avant des annonces détaillées prévues pour le début 2020, AEF info clôturera ses Rencontres de l’ESRI au Campus Condorcet, le 27 novembre, par un « zoom » sur la loi :
Avec les rapporteurs des groupes de travail, Philippe Berta, député MDA du Gard, Francis Chouat, député LREM de l’Essonne, Philippe Mauguin, PDG de l’Inra, Sylvie Retailleau, présidente de l’université Paris-Saclay, Manuel Tunon de Lara, président de l’université de Bordeaux, et Dominique Vernay, vice-président de l’Académie des technologies.
Avec également, Jacques Fayolle, président de la Cdefi, Olivier Laboux, vice-président de la CPU, Arnaud Poitou, président de la commission recherche et transfert de la CGE.
Et avec Claudio Galderisi, président de QSF, Franck Loureiro, secrétaire général adjoint du Sgen-CFDT, et Patrick Monfort, secrétaire général du SNCS-FSU.
L’inscription à ces Rencontres est gratuite, mais le nombre de places est limité. Vous pouvez vous inscrire aux différentes séquences en cliquant ici. Le programme complet
LE MONDE
Au lycée, le conseil de classe à l’épreuve de la réforme
« Le cadre réglementaire dit qu’il doit y avoir un conseil de classe et une réunion de parents par trimestre », rappelle Alexis Torchet, secrétaire national du SGEN-CFDT et membre du comité de suivi de la réforme du lycée. « Le débat qui nous attend désormais, c’est de savoir comment adapter ce cadre aux besoins, car ni le conseil de classe ni la réunion parents-profs ne sont réellement satisfaisants. « Les proviseurs en ont bien conscience, comme Sylvie Perron, secrétaire fédérale au SGEN-CFDT, qui a piloté la réforme en tant que proviseure du lycée Robert-Schuman de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne) jusqu’en juin dernier. « Le format où l’on passe les élèves en revue en disant des choses qu’ils n’entendront pas, et où ni les parents ni les délégués n’ont vraiment voix au chapitre n’a plus de sens », plaide-t-elle.
Pour Laurent Le Drezen, proviseur à La Seyne-sur-Mer (Var), cette réflexion doit s’inscrire dans le temps long : l’année zéro de la réforme est celle où l’on lance des pistes de réflexion. Pour l’instant, ce proviseur d’un lycée qui compte douze classes de 1re générale a maintenu l’ancienne formule, en limitant la durée de chaque conseil à une heure. « Mais je réunis bientôt un conseil pédagogique pour réfléchir à une nouvelle organisation », explique-t-il. Tous les formats qui iront vers un suivi plus individuel des élèves seront bons à prendre.
AEF
Le Cneser vote unanimement contre la répartition des moyens des établissements d’enseignement supérieur
Le Sgen-CFDT juge pour sa part que le budget 2020 « reste très insuffisant » et qu’il est nécessaire d’abonder notamment les programmes 231 et 150 « pour répondre aux demandes légitimes des étudiants et des personnels à étudier et travailler dans de bonnes conditions ». Le syndicat s’engagera « pour améliorer concrètement les conditions de vie, d’études et de travail des étudiants et des personnels ».
15 novembre
OUEST-FRANCE
Saint-Brieuc. Appel à manifester pour les droits des jeunes migrants
Les associations d’aide aux migrants Cajma 22, La Cimade et Utopia 56, accompagnés par les syndicats Ensemble 22, Sgen-CFDT, Solidaires, Sud-Éducation et CGT Éduc’action, appellent à un rassemblement devant le Conseil départemental de Saint-Brieuc, ce mercredi 20 novembre à 16 h 45.
14 novembre
LE CAFE PÉDAGOGIQUE
Retraites : Nouvelle promesse du ministre
Dans une lettre adressée au Sgen Cfdt le 12 novembre, JM BLanquer promet une nouvelle fois la revalorisation. « Le gouvernement s’est engagé à ce que la mise en place du système universel (de retraite) s’accompagne d’une revalorisation salariale permettant de garantir un même niveau de retraite pour les enseignants que pour les corps équivalents de la fonction publique ». Cet engagement serait écrit dans la loi.
On ne sait ce que vaut cette promesse. On retiendra qu’il ne s’agit pas garantir le maintien du niveau de la retraite mais juste de ne pas faire pire que pour les autres fonctionnaires. Et que le montant de la revalorisation n’est pas fixée pas plus que ses modalités.
Pris à quelques jours d’une grève qui s’annonce massive et à laquelle le Sgen Cfdt est le seul syndicat à ne pas appeler, cette lettre semble surtout un geste tactique.
Guyane 1ère
Carton rouge pour le rectorat de Guyane. L’intersyndicale enseignante, composée de 7 organisations : le STEG-UTG, le SNUIPP, Sud-Education, le SGEN-CFDT, le SNETTAA FO et FNEC-FP-FO dénoncent les difficultés de l’enseignement trois mois après la rentrée 2019.
La Nouvelle Republique
Deux -Sèvres : Les réactions des organisations syndicales
Bernard Martin (SGEN-CFDT) : « Nous avions été alertés par nos adhérents de difficultés de management à la direction académique. Il semblait que le Dasen était apprécié de l’administration départementale mais la situation s’est dégradée depuis au moins un an. Au niveau syndical, lors des négociations, notamment sur la carte scolaire, il était sur des positions qui parfois nous correspondaient. Par exemple le dispositif “ Plus de maîtres que de classes ” que seul le département des Deux-Sèvres a maintenu. »
13 novembre
La Croix
Comment revaloriser le métier d’enseignant
Une reconnaissance des compétences des enseignants qui trop fait défaut, en France, reprend Catherine Nave-Bekhti.