Revue de presse
13 juillet
AEF
PPCR : le Sgen-CFDT et le SE-Unsa s’inquiètent d’un possible report du calendrier
« Qu’en est-il pour le MEN ? », s’inquiète le syndicat. Pour le Sgen-CFDT, il ne serait « pas acceptable que le calendrier de la revalorisation indiciaire des agents soit remis en cause ». Le protocole PPCR signé en 2016 par le gouvernement précédent prévoit un étalement des revalorisations jusqu’en 2020 . Le gouvernement actuel demande 75 M€ d’économie à l’Éducation nationale
12 juillet
LES ECHOS
« En Marche ! » et l’Université : faites sauter les blocages !
Le SGEN-CFDT met en garde contre » une sélection dissimulée » qui serait » inacceptable » et préfère également » l’orientation ». Remarquons qu’améliorer cette dernière serait une excellente chose, mais ne résout pas les problèmes du « tous en fac » qui tue l’institution… sauf à appeler « université » des institutions très différentes et qui restent à créer.
CAFE PEDAGOGIQUE
Budget : Le PPCR « reporté » ?
Les accords PPCR menacés ? Alors que la question budgétaire devient pour l’Education nationale la question prioritaire, deux syndicats, le Sgen Cfdt et l’Unsa Fonction publique, annoncent une éventuel « report » des accords de revalorisation du PPCR.
11 juillet
AEF
Le Cneser votre contre la création de la Comue Centre Val-de-Loire et contre les autres textes sur les regroupements
Sorbonne Université : Le Sgen-CFDT s’est abstenu « dans la logique de son vote sur la création de Sorbonne Université en février dernier », précise à AEF Christine Barralis : « Si la fusion présente certains points d’intérêt, il y a un manque de dialogue social ».
Comue Centre Val-de-Loire : Mêmes critiques de la part de Christine Barralis, pour qui « les statuts sont mal rédigés et ne permettront pas à la Comue de fonctionner ». Ainsi, elle pointe un « problème pour les élections aux conseils de la Comue, les statuts n’ayant pas tenu compte de la spécificité d’un de ses membres, le BRGM, qui a un statut d’Epic et auquel les dispositions du code de l’éducation ne s’appliquent pas ».
Comue Léonard-de-Vinci : « À l’heure actuelle, la Comue est fragile et nous sommes inquiets sur son avenir, mais nous nous sommes abstenus pour ne pas pénaliser les personnels de Poitiers et Limoges », précise à AEF Christine Barralis. Sur Twitter, Yoann Conan (Fage) pointe une « politique de site non réinterrogée malgré la situation ».
Comue d’Aquitaine : Le Sgen-CFDT s’est également abstenu et Christine Barralis se dit « dubitative sur ces recompositions qui se font de manière précipitée », ajoutant que éla Comue d’Aquitaine a jusque-là eu une activité a minima »
Comue Lille-Nord-de-France : Christine Barralis explique s’être abstenue pour les mêmes raisons, mais souligne que « le ministère a annoncé au Cneser qu’il allait mettre le texte en cohérence avec la réalité et ainsi procéder à un toilettage réglementaire ».
10 juillet
AEF
Polémique sur la campagne de recrutement de contractuels de l’académie de Créteil
« Le nombre de postes vacants après le mouvement dans le second degré est en augmentation dans l’académie de Créteil », affirme dans un communiqué le Sgen-CFDT.
AEF
Télétravail dans l’enseignement supérieur et la recherche : la publication de l’arrêté pourrait être repoussée à 2018
Le Sgen-CFDT explique que cette saisine « permettra d’identifier les conséquences de la mise en œuvre du télétravail sur les agents. Celle-ci avait été refusée par la DGRH lors de la concertation ». En parallèle, « le Sgen-CFDT demande donc l’ouverture de véritables négociations afin d’aboutir à un texte rendant réellement possible le télétravail ».
Le Sgen-CFDT estime que « l’accès au télétravail doit être le plus large possible. Les responsabilités doivent être clairement définies entre l’employeur et l’agent. En effet, il est indispensable que toutes les conditions de sécurité et d’intégrité des données mais aussi de conditions de travail, d’équipement et de financement de ces mêmes équipements ne reposent pas sur le seul agent. Le texte soumis à l’avis du CTMESR allait à l’encontre de ces principes. Les principales propositions d’améliorations faites par le Sgen-CFDT ont toutes été rejetées par la DGRH. Le texte proposé est ainsi l’un des plus restrictifs de l’ensemble la fonction publique ».
7 juillet
LES ECHOS
Prérequis à l’université : début des discussions le 17 juillet
De son côté, le Sgen-CFDT veut éviter que « l’expression de prérequis (ne se traduise par) une sélection dissimulée » qui serait « inacceptable ». Le syndicat se dit, en revanche, favorable à des « prérequis » relevant d’« une vraie orientation active » avec des inscriptions dans telle ou telle filière qui se feraient « à partir d’une analyse fine du dossier de chaque candidat ». De fait, un bac littéraire ne pourrait pas être inscrit automatiquement en médecine. Pour ceux qui n’auraient pas « les compétences nécessaires à la réussite dans la formation choisie », le syndicat réclame « un accompagnement personnalisé » depuis la classe de seconde jusqu’à la licence voire une remise à niveau dans certains cas.
6 juillet
CTMESR du 5 juillet 2017 : le projet Rifseep pour les ITRF et les ITA n’est pas abandonné (Philippe Baptiste)
Sgen-CFDT. Le Sgen-CFDT a également communiqué sur ce CTMESR, mettant l’accent sur trois points :
- le gel du point d’indice qualifié d' »inacceptable », les agents publics étant « une nouvelle fois » considérés comme « une charge » et non « comme une richesse » ;
- une nécessaire amélioration du fonctionnement du CTMESR, avec la mise en place d’un « réel agenda social » allant au-delà du traitement purement « technique » des dossiers ;
- des « dossiers prioritaires » : la mise en œuvre du PPCR ; la résorption de la précarité et les inégalités de rémunération indemnitaire des contractuels ; la mise en place du Rifseep pour les ITRF et ITA ; la qualité de vie au travail dans les établissements ; la mise en place du comité de suivi du protocole signé en mai dernier sur la titularisation des personnels ouvriers des Crous, lequel « ne peut pas être présidé par le directeur du Cnous ».
5 juillet
LE FIGARO
APB : les bacheliers admis ailleurs doivent démissionner pour libérer des places
Le Sgen-CFDT réfute fermement l’idée de sélection mais rappelle que le tirage au sort, mis en œuvre depuis plusieurs années pour l’entrée en fac dans plusieurs filières, «est la pire des solutions». Il prône «une vraie orientation active», qui ordonnerait «les inscriptions dans une filière à partir d’une analyse fine du dossier de chaque candidat».
29 juin
AEF
Avec 28,69 % des suffrages exprimés, le Sgen-CFDT Recherche EPST obtient deux sièges sur six à l’élection des représentants du personnel au conseil d’administration du CNRS, dont les résultats ont été proclamés mardi 27 juin 2017. Il est en progression de plus de 6 points par rapport aux précédentes élections de 2013.
En remerciant ses électeurs, le 28 juin, le Sgen-CFDT Recherche se félicite d’être arrivé « en tête » des élections renouvelant les représentants du personnel au conseil d’administration du CNRS, et d’être « le seul syndicat à obtenir deux sièges », l’un dans le collège des chercheurs, l’autre dans le collège des ITA (ingénieurs, techniciens, administratifs). Le Sgen retrouve ainsi une position dominante qu’il avait perdue depuis les élections de 2009, face au SNTRS-CGT.
27 juin
OUEST-FRANCE
Admission post-bac : les étudiants attendent toujours
Selon Catherine Nave-Bekhti, du Sgen CFDT, APB a un mérite, il apporte « plus de visibilité aux lycéens sur les filières, en particulier sélectives » par rapport à l’ancien système et des candidatures papier
28 juin
LE PARISIEN
Rythmes scolaires : le casse-tête du maire de Fontenay-en- Parisis
« Cela nous a paru important de leur donner notre position car ça fonctionne bien depuis quatre ans comme le montre les comités de suivis qui ont été organisés : tout le monde était satisfait jusque là du fonctionnement », précise Jean-François Cochet, directeur de l’école Les hirondelles et responsable départemental 1er degré Sgen-CFDT.
FRANCE BLEU ALSACE
Parents et enseignants manifestent à Colmar contre les classes surchargées
A l’appel de plusieurs syndicats (FSU, SNUIpp, SNEP, SNES, Sgen-CFDT, Unsa Education et Snudi-FO) et de la FCPE, Fédération des parents d’élèves, une cinquantaine de personnes s’est rassemblée ce mercredi 28 juin 2017 devant la préfecture du Haut-Rhin, rue Bruat, à Colmar, à l’occasion de la réunion du CDEN, Conseil départemental de l’éducation nationale.
TOUTEDUC
Reformes, rentree, bac pro, enseignement prive : le SNE-CSEN, le SGEN-CFDT, le SE-UNSA, le SNUEP, la FEP-CFDT, la CGT-EP
La directive donnée par Jean-Michel Blanquer sur l’accueil en musique des nouveaux élèves à la rentrée permet les jeux de mots du SGEN-CFDT, « une directive hors-sol » et du SE-UNSA, « mieux vaut éviter les couacs ». Le premier dénonce une forme de « pilotage descendant par les circulaires », dont le nouveau ministre de l’Education nationale avait annoncé qu’il y mettrait fin. Il peut certes « se retrouver dans la volonté ministérielle de redonner une place plus importante à la musique », mais il lui suggère d’inscrire plutôt cet objectif dans les parcours d’éducation artistique et culturelle
VOUS NOUS ILS
Une directive “hors-sol” (SGEN)
De son côté, le Sgen-CFDT indique “pouvoir se retrouver dans la volonté ministérielle de redonner une place plus importante à la musique dans la vie des écoles et établissements”, mais suggère à Jean-Michel Blanquer d’inscrire cet objectif “dans les parcours d’éducation artistique et culturelle (PEAC), au sein desquels elle trouverait toute sa place, plutôt que dans une directive pour le moins hors-sol”.
27 juin
AEF
« Rentrée en musique » : des syndicats enseignants jugent la mesure inappropriée
Sgen-CFDT : une instruction « incompréhensible »
Pour le Sgen-CFDT, cette demande est « incompréhensible » de la part du ministre de l’Éducation nationale qui affirmait vouloir « mettre fin au pilotage descendant par les circulaires ». Le syndicat se dit « perplexe » quant à « sa conception de la gouvernance du système éducatif ».
La lettre de Jean-Michel Blanquer adressée aux acteurs du système éducatif laisse le Sgen-CFDT « perplexe […] sur sa conception de la gouvernance du système éducatif ». Après avoir annoncé qu’il voulait « mettre fin au pilotage descendant par les circulaires », il est « incompréhensible » que Jean-Michel Blanquer « adresse une instruction aux recteurs sur l’organisation de la rentrée scolaire ».
L’ETUDIANT
Politique de site : la concertation sur le projet d’ordonnance devrait durer un an
De son côté, Franck Loureiro, secrétaire général adjoint du Sgen-CFDT, s’inquiète du contenu du projet législatif et notamment de l’allongement possible du délai des expérimentations en matière de regroupements. « S’il s’agit d’aboutir aux préconisations du rapport Cytermann, à savoir un nouvel EPCSCP où les membres garderaient la personnalité morale, sans prévoir de limite temporelle, c’est hors de question ! », signale-t-il.
La durée maximale des expérimentations, passée récemment de cinq à dix ans, est déjà « très longue », insiste Franck Loureiro. Surtout, « l’impact organisationnel est tellement lourd qu’il semble difficile d’imaginer un retour en arrière, analyse de son côté Stéphane Leymarie. L’objectif est bien que tout le monde fusionne d’ici à dix ans ».
Le Sgen-CFDT et le Snesup-FSU soulignent leurs craintes en matière de démocratie sociale : « Les nouvelles expérimentations ne doivent pas continuer de saper la démocratie universitaire, avec un président tout puissant et une faible représentativité des élus », met en garde Hervé Christofol, secrétaire général du Snesup-FSU.
Ouest France
Admission post-bac : le système « à bout de souffle »
Modèle d’orientation à repenser
Selon Catherine Nave-Bekhti, du Sgen CFDT, APB a un mérite, il apporte « plus de visibilité aux lycéens sur les filières, en particulier sélectives » par rapport à l’ancien système et des candidatures papier.
26 juin
AEF
Frédérique Vidal au Cneser : le sujet « politique de site » est « inscrit à l’ordre du jour de façon assez urgente »
CFDT. Dans sa déclaration, la CFDT a souligné « la grosse inquiétude […] concernant l’organisation de la rentrée universitaire 2017, qui se fait dans des conditions très tendues » et la nécessité d’ « engagements pluriannuels de l’État » pour l’ESR. Par ailleurs, elle estime que « l’autonomie ne signifie pas dérégulation totale et omnipotence des présidents d’établissements », mais qu’elle doit être « guidée par un État stratège, qui fixe les grandes orientations de l’ESR, en contrôle a posteriori la mise en œuvre et assume pleinement son rôle de contrôleur de légalité et de contrôleur budgétaire ». Pour la confédération, « l’élargissement des compétences des établissements exige un renforcement de leurs institutions démocratiques et du dialogue social ». Elle s’opposera « à toute modification du cadrage des statuts d’établissement, ou invention de nouveaux types d’établissements, qui au nom de l’efficacité affaibliraient la démocratie universitaire au lieu de la renforcer ».
L’instance a également élu Françoise Lambert (Sgen-CFDT) comme représentante au Cneserac.
AEF
Sgen-CFDT : une réforme pour les bons élèves ?
« Les chefs d’établissements ont été mis à forte contribution pendant l’année scolaire 2016-2017 pour mettre en place une réforme du collège à pas de charge », remarque Jean-Louis Lopez (Sgen-CFDT), qui a voté contre le projet d’arrêté.
Il déplore que le gouvernement « remette en cause brutalement la réforme de 2016, sans être évaluée ». « Jean-Michel Blanquer avait pourtant dit qu’il ne voulait pas faire de rupture par rapport au gouvernement précédent. C’est assez paradoxal car il fait finalement le contraire ». Il souligne aussi que, comme pour la réforme précédente, les personnels de direction se retrouvent « à nouveau avec des injonctions et doivent agir très rapidement ».
Sur le fond, le syndicat redoute un « retour d’enseignements facultatifs qui profiteraient aux seuls bons élèves ». « L’enjeu du collège est de faire réussir les élèves les plus en difficultés. Nous sommes d’accord pour faire des classes bilangues et plus de latin, mais si cela bénéficie à tous les élèves », estime le syndicaliste. Le Sgen salue « la consolidation des conseils pédagogiques » qui devront se prononcer sur la répartition des enseignements complémentaires.
Comme les autres syndicats, il prévoit des changements « marginaux » d’organisation à la rentrée 2017, en raison des délais trop courts. « Pour créer des classes bilangues par exemple, le principal doit trouver des heures dans sa marge d’autonomie et des professeurs or c’est difficile car tout a déjà été planifié. Les chefs d’établissement ne vont pas réunir les conseils pédagogiques à cette période. »
23 juin
TOUTEDUC
Rythmes, dedoublements, musique, redoublements : un tableau des réactions syndicales
De même le SNUIPP (syndicat FSU du 1er degré) fait valoir que « »les enseignants souhaitent le retour à la semaine de 4 jours », un point de vue que ne partage pas le SGEN-CFDT .
LA CROIX
APB : comment améliorer le passage du lycée à la fac
« De plus en plus de lycées proposent aussi des forums des métiers », observe de son côté Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT, qui évoque aussi les ressources qu’offre l’Onisep (1). Sans parler des nombreux « salons » qui – en dépit de la carte « marketing » qu’y jouent certains établissements – peuvent aider les lycéens à préciser leur projet.
APB est-il en cause ? « Cette plateforme permet un examen plus exhaustif des dossiers que par le passé », estime Catherine Nave-Bekhti. La secrétaire générale du Sgen-CFDT rappelle qu’il n’y a pas si longtemps il fallait adresser un dossier à chaque établissement visé ou faire la queue pendant des heures pour être sûr d’avoir une place