revue de presse
19 septembre
OUEST FRANCE
Une enquête dans les lycées bretons
Le Sgen-CFDT diffuse un questionnaire auprès du corps enseignant en lycée, afin de savoir comment se vit la réforme.
Le Sgen-CFDT (syndicat général de l’Éducation nationale) observe ce qui se passe dans les lycées, lors de cette rentrée marquée par la réforme Blanquer. ?« C’est une année compliquée et anxiogène, fait remarquer Véronique Baslé, secrétaire générale adjointe du syndicat pour la région Bretagne. ?Qui n’est facile à vivre ni pour les familles ni pour les enseignants. »
Outre le découpage des classes entre 15 h de tronc commun et 12 h de spécialités pour les élèves de première, ?« qui modifie la notion de prof principal », tous les programmes, et tous les manuels ont changé. ?« Le coût pour les familles s’élève à environ 200 € », évalue Véronique Baslé.
17 septembre
WEKA ACTUALITÉ
Guyane : des milliers d’enfants non scolarisés
Pour le Sgen CFDT-Cdtg, le « dédoublement
[ToutEduc] : Le SGEN-CFDT voudrait « un plan Marshall » pour l’education
des classes – même si il y a souvent deux enseignants dans la même classe » et l’obligation de scolariser « d’un coup » les 3-6 ans, avec l’obligation d’instruction dès 3 ans, aggravent les capacités d’accueil de ce territoire de 300 000 habitants et 84 000 élèves.
13 septembre
ALTERNATIVES ECONOMIQUES
Petits et grands lycées inégaux face à la réforme Blanquer
A la fin de l’année scolaire, en juin, une dizaine d’élèves de seconde avaient souhaité suivre l’option intitulée « langues, littératures et cultures étrangères en espagnol ». La cheffe d’établissement a finalement choisi de ne pas ouvrir la spécialité et d’orienter les élèves vers les sept autres disciplines. « C’est notamment une question de poste. Nous nous sommes dit qu’on ne pouvait pas faire venir un enseignant pour quatre heures par semaine », explique cette représentante syndicale du Sgen-CFDT (Syndicat Général de l’Education Nationale). Le choix est également justifié par des problématiques d’emploi du temps mais, surtout, par des questions financières.
12 septembre
NOUVEL OBS
Dix jours après la rentrée, la réforme du lycée toujours au coeur des préoccupations
Catherine Nave-Bekhti, à la tête du Sgen-CFDT, a estimé mardi lors d’une conférence de presse que la rentrée scolaire s’est « globalement bien passée, puisque peu d’établissements scolaires sont en grève ».
Mais elle tempère : « c’est grâce à l’implication de tous les agents, enseignants, personnels administratifs depuis plusieurs mois et particulièrement ces dernières semaines ».
Et « attention, c’est sur fond d’un certain nombre d’alertes, notamment dans le second degré où il manque souvent des moyens dans la dotation horaire globale, ce qui aboutit à ce que des groupes de spécialités soient surchargés, à plus de 35 élèves parfois », dénonce-t-elle.
Comme beaucoup, elle souligne qu’il y a dans les lycées de « très nombreux professeurs à refuser la mission de professeur principal car elle se complexifie et est remise en question avec l’éclatement de la classe ».
11 septembre
la nouvelle république
SGEN-CFDT : les questions de la rentrée scolaire
Les sujets de mécontentement ne manquent pas pour les enseignants adhérents du SGEN-CFDT Poitou-Charentes, réunis hier à Niort. Satisfaction d’abord, pour la quatrième année consécutive, la rentrée scolaire dans le premier degré s’est déroulée « avec quelques ouvertures et sans fermeture de classe », se félicite Bernard Martin. Mais le dossier du handicap soulève des questions : « Le syndicat général de l’Education nationale a obtenu que les effectifs des Uliss (unités localisées pour l’inclusion scolaire) soient pris en compte pour les ouvertures de classe », relève Mathilde Micard. « Restent des difficultés notamment liées à des locaux mal adaptés et aux emplois du temps. » Le SGEN se félicite par ailleurs de l’amélioration des contrats des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH), désormais de trois ans avec possibilité d’un CDI au bout de six ans. Pour autant, le syndicat « ne reconnaît pas ce qui a été fait sous statut contrat aidé » et pose la question des AESH mutualisés « avec des temps partiels imposés et le fait qu’ils interviennent dans plusieurs classes et écoles ». S’agissant de la scolarisation des 3 ans, nouveauté de la rentrée, le syndicat demande qu’un bilan soit établi.
CAFÉ PÉDAGOGIQUE
Comment les salaires enseignants ont baissé
Sur la durée d’une carrière, entre 1982 et 2018, le salaire moyen d’un certifié à niveau d’ancienneté équivalent a baissé de 20%. C’est une des données réunies par un professeur de SES, Bernard Schwengler, et diffusées par le Sgen Cfdt le 10 septembre. Que croyez vous qu’il advint pour les autres enseignants ? L’évolution est identique. Et pour les autres fonctionnaires cadres A ? Leurs salaires ont augmenté de 20% sur la même période…
On savait que le revenu des enseignants français a diminué ces dernières années. L’OCDE avait même montré que c’était une spécificité française : entre 2000 et 2010 les salaires enseignants des pays de l’OCDE ont connu une croissance sensible à l’exception des professeurs japonais et français. Avec la crise mondiale, de 2010 à 2012 les salaires enseignants ont généralement reculé dans les pays de l’OCDE. Mais à partir de 2013 ils repartent à la hausse. Sauf en France où le gel du point fonction publique s’impose, à l’exception de 2016 et 2017.
CAFÉ PEDAGOGIQUE
Pour le Sgen-CFDT, une rentrée 2019 avec des personnels déjà fatigués
A propos de ce dédoublement présenté comme » la » mesure devant en finir avec les inégalités, le Sgen-CFDT regrette la pression sur les enseignants de ces classes à 12. » Certains reconnaissent le confort pour enseigner, souligne Catherine Nave-Bekhti, mais d’autres font des retours beaucoup plus mitigés, évoquant un pilotage extrêmement injonctif, les visites très fréquentes des inspecteurs dont certains conseillent de ne plus faire d’EPS ou d’ouverture culturelle, afin d’arriver aux 100% de réussite des élèves (promis par le ministre). On a même des collègues qui ne veulent plus enseigner dans ces classes pour retrouver autonomie et sérénité « .
Enfin, le Sgen-CFDT alerte sur la difficulté à pourvoir les postes de directeurs d’école, y compris ceux bénéficiant de décharges importantes. Un problème récurrent mais qui serait particulièrement aigu cette année, la reconnaissance promise n’ayant toujours pas abouti.
10 septembre
TOUTEDUC
Le SGEN-CFDT voudrait « un plan Marshall » pour l’education
La rentrée « se passe plutôt bien », estime le SGEN-CFDT, mais Catherine Nave-Bekhti ajoute que les personnels « démarrent l’année déjà fatigués ». Ils ne sont pas démoralisés dans la mesure où ils s’engagent pour la réussite de leurs élèves, mais ils n’ont pas eu de réponses aux questions qui ont provoqué les tensions de l’an dernier, et ils doivent faire, au lycée, avec « des programmes bâclés ». Lors de la traditionnelle conférence de presse de rentrée, après avoir listé les difficultés et problèmes, la secrétaire générale estime que l’Education nationale « a besoin d’un plan Marshall ».
La question des salaires est particulièrement prégnante. L’organisation syndicale devrait publier cet automne une étude sur leur évolution. Elle peut déjà indiquer qu’un enseignant certifié qui a 10 ans d’ancienneté a un salaire inférieur de 20 % à celui de son homologue de 1982 (21 % pour un agrégé, 8% pour un professeur des écoles, 7 % pour un PLP). Son salaire net (primes comprises) a diminué de 16 % quand celui des magistrats augmentait de 24 %. Sur les retraites, un sujet particulièrement « anxiogène », le SGEN entend que la négociation soit l’occasion d’une amélioration de toutes les rémunérations et que personne n’y perde dans le calcul des pensions.
En ce qui concerne le 1er degré, le SGEN place en tête des difficultés le nombre de postes de directeurs non pourvus, un problème récurrent mais particulièrement sensible cette année d’autant qu’il s’agit souvent de postes auxquels sont attachées des décharges importantes. Les enseignants ont sans doute été particulièrement déçus de constater que l’annonce d’une négociation dans l’agenda social n’avait pas eu de suite. Quant aux CP et CE1 dédoublés, ils apportent aux élèves et aux enseignants un réel confort de travail, « sauf en cas d’absence de dynamique de classe ». Et la mesure s’accompagne d’une « pression permanente » de la hiérarchie, d’un « pilotage intrusif » qui met à mal l’animation du réseau d’éducation prioritaire et qui amène à renoncer à l’EPS ou à l’ouverture culturelle, aux disciplines artistiques pour atteindre les « 100 % de réussite » en lecture.
AEF
Lycée pro, lycée GT, directeur d’école, salaire… Le Sgen-CFDT pointe plusieurs tensions lors de la rentrée
« Le manque de moyens en lycée aboutit parfois à la fermeture de spécialités », explique Catherine Nave-Bekthi, secrétaire générale du Sgen-CFDT lors d’une conférence de presse le 10 septembre 2019. Si la rentrée s’est globalement « bien passée », selon le Sgen, elle est émaillée de quelques difficultés, comme la démission de professeurs principaux. Même chose en lycée professionnel où les « heures complémentaires n’arrivent pas dans tous les LP« . Le syndicat remarque aussi de nombreux postes de directeurs d’école non pourvus, un « collège sous tension » et attend du « concret » sur la revalorisation.
C’est un large tour d’horizon de l’actualité éducative que le Sgen-CFDT a proposé à la presse, le 10 septembre 2019, lors de sa conférence de rentrée. Globalement, la rentrée s’est « bien passée », estime Catherine Nave-Bekthi, la secrétaire générale, même si, à chaque niveau, des difficultés existent.
« Le manque de moyens aboutit parfois à la fermeture de spécialités »
Lycée GT. Si « l’implication de tous les agents depuis plusieurs mois » a permis d’éviter de grosses difficultés lors de cette rentrée (lire sur AEF info), le Sgen observe néanmoins plusieurs problèmes.
D’abord, au niveau de la carte des spécialités, pour laquelle le Sgen a « alerté le ministère ». « Le manque de moyens aboutit parfois à la fermeture de spécialités ou à des groupes très chargés, assure Catherine Nave-Bekthi. Aussi, des groupes de NSI ont dû fermer en raison du manque de matériel informatique… ».
En outre, une des difficultés les plus visibles serait la démission de professeurs principaux dont l’explication se situe, selon les cas, sur « trois niveaux différents », explique Alexis Torchet, secrétaire national : « le refus des réformes ; la volonté de se désengager ; l’évolution des missions du professeur principal, à qui l’on demande toujours plus d’accompagnement ».
Plus généralement, le Sgen note une rentrée en lycée « sous tension, où beaucoup de collègues sont déjà fatigués, que ce soit les enseignants, qui ont dû plancher cet été sur les nouveaux programmes, les chefs d’établissement, qui ont travaillé dur pour la confection des emplois du temps, et les personnels administratifs dans les rectorats, qui ont dû mettre la réforme en musique ».
« Il y a eu un rappel du ministère aux recteurs »
Lycée professionnel. C’est un des points noirs de cette rentrée selon le Sgen, avec deux difficultés principales. Tout d’abord, les « heures complémentaires », censées permettre notamment la co-intervention, « n’arrivent pas dans tous les LP, là où les académies font d’autres choix », indique la secrétaire générale. Ainsi pose-t-elle la question du pilotage de la réforme par le ministère : « Nous ne sommes pas forcément centralisateurs, mais le ministère se doit de faire en sorte que les éléments d’application d’une réforme se retrouvent sur le terrain ».
En outre, en cette rentrée de mise en œuvre de cette « co-intervention », les heures au sein des emplois du temps dédiées à celle-ci devaient, les premiers temps, être laissées libres aux enseignants afin qu’ils puissent se réunir, se concerter et réfléchir à la manière de la mettre en place. Or, dans de nombreux établissements, ces moments de concertation n’existent pas. « Il y a eu un rappel du ministère aux recteurs afin que ce soit bien le cas », souligne Catherine Nave-Bekthi.
Le Sgen alerte également sur un manque de moyens, notamment en CAP, ne permettant pas la présence de deux enseignants pour la co-intervention.
« Des postes de directeur d’école non pourvus »
École primaire. « Il est difficile de pourvoir tous les postes de directeur d’école », s’inquiète Catherine Nave-Bekthi. Si ce type de problème survient à chaque rentrée, cette année, une nouveauté interpelle : « Généralement, ce sont les postes sans décharge qui ne sont pas tous pourvus. Cette année, cela concerne même des postes aux décharges importantes ». Deux raisons principales à cela, selon le Sgen : le manque de reconnaissance que connaît la fonction, ainsi que les débats autour des EPLESF qui ont fait craindre une perte de prérogatives au directeur d’école. Le Sgen demande ainsi que les réunions de l’agenda social sur ce point-là « reprennent le plus vite possible ».
Dans le premier degré, le Sgen note également des difficultés à dédoubler les classes, en particulier dans les « académies où il y a beaucoup d’écoles en éducation prioritaire ». « Ils ne sont pas entièrement financés ou, quand ils le sont, c’est parfois pris sur les moyens mis en place par le gouvernement précédent pour renforcer le remplacement des professeurs des écoles afin de leur permettre, notamment, de se former », regrette Catherine Nave-Bekthi.
5 septembre
AEF
Réforme du lycée GT : une rentrée qui a « fonctionné » mais des difficultés à venir ?
Le fait que des élèves qui suivent différentes spécialités peuvent être dans une même classe a pour conséquence un « éclatement de la classe comme groupe de référence », remarque Alexis Torchet, secrétaire national du Sgen-CFDT. Mélanger les spécialités au sein d’une classe « était un objectif » de la réforme, notait d’ailleurs Daniel Auverlot, le recteur de Créteil, lors de sa conférence de presse de rentrée, avant d’ajouter que, dans toutes les classes son académie, « il y aura des élèves de plusieurs spécialités ». Certains élèves ne se retrouveront alors ensemble que dans les cours de tronc commun.
« Pour les E3C, on avance dans le brouillard »
Le fait que des élèves qui suivent différentes spécialités peuvent être dans une même classe a pour conséquence un « éclatement de la classe comme groupe de référence », remarque Alexis Torchet, secrétaire national du Sgen-CFDT. Mélanger les spécialités au sein d’une classe « était un objectif » de la réforme, notait d’ailleurs Daniel Auverlot, le recteur de Créteil, lors de sa conférence de presse de rentrée, avant d’ajouter que, dans toutes les classes son académie, « il y aura des élèves de plusieurs spécialités ». Certains élèves ne se retrouveront alors ensemble que dans les cours de tronc commun.
3 septembre
OUEST FRANCE
Rentrée dans la Manche : huit postes en plus pour les écoles
Du côté des syndicats, le Sgen-CFDT note que « les conditions de rentrée ont été améliorées dans les écoles par la nomination de la majorité des collègues fin août », ce qui a « évité de perturber élèves, enseignants et parents après la rentrée. L’absence de mesures conditionnelles y a aussi contribué ».
Pour autant, le Sgen-CFDT « s’inquiète de la prise en compte des enfants en Ulis (Unités localisées pour l’inclusion scolaire) au sein des effectifs de classe pour qu’une école bénéficie d’une ouverture […]. Certaines écoles se retrouveront encore avec des effectifs trop importants pour réaliser une inclusion de qualité. »
Le Sgen-CFDT s’interroge par ailleurs « sur les mesures de dédoublement, que ce soit en GS (grande section), CP et CE1. Si nous ne pouvons que souscrire à l’idée de baisser les effectifs dans ces classes, nous déplorons que cela se fasse souvent au détriment des autres niveaux. Lorsque le ministre parle d’école de la confiance, ne pourrait-il pas donner les mêmes moyens aux écoles concernées et laisser les enseignants les utiliser sous la forme la plus pertinente suivant les spécificités de leur école ? »
2 septembre
Liberation
Blanquer en session de rattrapage avec les profs
«Qu’ils aient fait grève ou non, les collègues n’ont pas forcément une idée différente de la politique menée par le ministre. L’épisode des copies du bac a laissé des traces», assure Catherine Nave-Bekhti, Sgen-CFDT (minoritaire).
LA DEPECHE
Mobilisation des enseignants et rentrée reportée au collège Hubertine-Auclert à Toulouse
Les élèves de sixième qui devaient faire leur rentrée ce lundi matin au collège Hubertine Auclert (quartier Croix-Daurade) sont repartis bredouilles. Les enseignants, soutenus par plusieurs syndicats (Snfolc, Sgen-CFDT et Snes-FSU), ont en effet décidé de faire grève en ce jour de rentrée scolaire à Toulouse. La raison ? Le manque de moyens pour un établissement qui n’est pas classé dans le réseau d’éducation prioritaire (REP et REP+) mais qui en a toutes les caractéristiques sociales, selon les professeurs en colère.
Ouest France
Le Mans. Le personnel enseignant du lycée Touchard-Washington mobilisé
C’est pourquoi les personnels du lycée ont adressé vendredi dernier avec les élus SNES-FSU, SGEN-CFDT et CGT Educ’Action, une lettre au proviseur de l’établissement mais aussi au recteur de l’académie de Nantes et à l’inspectrice académique de la Sarthe, pour prévenir contre « des dysfonctionnements importants dans l’organisation du lycée Touchard-Washington » pour cette rentrée 2019.
1er septembre
LE JOURNAL DU CENTRE
Les lycéens nivernais de filière générale ont-ils pu obtenir les enseignements de spécialité qu’ils souhaitaient avoir ? « Globalement oui », selon Angélique Ligouy, du syndicat d’enseignants Sgen-CFDT. « L’inspection académique a rappelé les élèves à la marge pour des changements », explique-t-elle.
Hormis la question des enseignements de spécialité, d’autres aspects de la réforme du Bac inquiètent les syndicats d’enseignants : les épreuves du Bac de français (les informations des nouvelles modalités sont arrivées trop tard, selon le Sgen-CFDT) et les épreuves de contrôle continu (il y a « beaucoup d’inconnues » selon le Sgen-CFDT, tandis que le SE-Unsa demande « une rémunération supplémentaire pour le travail supplémentaire »).
31 août
LE JOURNAL DU CENTRE
Selon les services académiques, 98,1 % des enfants de 3 ans empruntaient déjà en 2018-2019 le chemin de l’école dans la Nièvre. Avec des bénéfices pédagogiques indéniables notamment sur le vocabulaire, « la base pour apprendre à lire », expose Caroline Brisedoux, responsable du Sgen-CFDT pour le premier degré. Et de citer le cas d’enfants de 3 ans connaissant et utilisant mille mots à leur entrée en maternelle quand d’autres n’en maîtrisent que… trois cents et peuvent rattraper ce retard grâce à l’école !
Le SnuiPP-FSU, le Sgen-CFDT et le SE-Unsa appellent de leurs vœux l’amélioration des conditions d’accueil dès 2 ans. 10 à 15 % des enfants de cet âge fréquenteraient déjà les établissements nivernais.
30 août
LIBERATION
L’augmentation à venir des profs de 300 euros a-t-elle été décidée sous François Hollande ?
«La mise en route de PPCR ne se traduit pas dans les textes réglementaires par un montant, mais par des points d’indice supplémentaires», explique Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du SGEN-CFDT.
FRANCE INFO
Préavis de grève, syndicats aux aguets… La rentrée sera-t-elle mouvementée chez les profs ?
C’est le mot d’ordre de toutes les organisations syndicales : les paroles doivent se traduire en actes tangibles. « On ne peut qu’être d’accord avec la réussite de tous les élèves, maintenant il s’agit de concrétiser des mesures », souligne Annie Catelas, secrétaire nationale du Sgen-CFDT.
28 août
EST REPUBLICAIN
Les professeurs stagiaires font aussi leur rentrée
« L’année de stage sera difficile pour eux, ils seront livrés à eux-mêmes. D’autant plus que beaucoup deviennent professeurs suite à une reconversion, et ne sont que très peu habitués. Notre objectif est de leur faire atteindre la titularisation et que tout se passe bien pour eux », confie Émilie Noirot, professeure de mathématiques et membre du Syndicat général de l’Éducation nationale (SGEN-CFDT).
27 août
LE MONDE
Rentrée scolaire : le gouvernement joue l’apaisement avec les enseignants
Le SGEN-CFDT salue, lui aussi, un « infléchissement dans la posture et un changement dans le discours ».
26 août
L’ARDENNAIS repris par Nice-Matin
Éducation : une rentrée risquée pour Jean-Michel Blanquer
« Une bonne initiative », estime Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT, « même s’il faudra voir concrètement ce qu’on améliorera. »
LIBERATION
Une rentrée à risques pour le ministre de l’Education
Également au menu des discussions avec les organisations syndicales: les conditions de travail des enseignants. «Il y a eu une grande fatigue accumulée l’an dernier, avec des périodes de tension et la préparation de la réforme du lycée», souligne Catherine Nave-Bekhti, à la tête du Sgen-CFDT, un autre syndicat enseignant.