Revue de presse
Ouest France
4 mars
Proviseur menacé de mort à Paris : port du voile, accusation de violences… Voici ce que l’on sait
Des chefs d’établissements parisiens manifestent leur soutien, ce lundi 4 mars, à un collègue visé par des menaces de mort sur les réseaux sociaux. Une enquête est ouverte pour cyberharcèlement visant un proviseur de lycée. Ce dernier avait rappelé à des élèves « l’obligation de retirer leur voile ». L’une d’elles l’accuse de « violences », ce que réfutent la direction et le rectorat.
Chose plutôt rare, trois syndicats de chefs d’établissements (Sgen-CFDT, Snpden-Unsa et ID-FO) ont réagi dans un communiqué commun : « Une fois encore, des collègues sont menacés de mort pour avoir fait respecter les valeurs de l’école publique. Ces menaces sont inacceptables », dénoncent les organisations syndicales, qui se sont réunies sur la pause du midi, ce lundi, devant la Sorbonne.
165 personnels de direction, sur 380 établissements du secondaire dans la capitale, ont témoigné de leur soutien : « Ce n’est pas dans nos habitudes. Mais il faut que les parents et les élèves prennent conscience qu’il ne faut pas dépasser les limites, raconte Kamel Aït Bouali, secrétaire académique du Sgen-CFDT, qui assure qu’à la suite de cet événement, « la parole s’est libérée. De nombreux collègues ont témoigné avoir, eux, aussi, subi des pressions après des conseils de disciplines. »
La Gazette en Yvelines
5 mars
Les collèges et lycées du département en grève
Après les mouvements de grêve nationaux, voilà que la gronde s’amplifie à l’échelle locale. L’intersyndicale éducation (SNES-FSU, SNEP-FSU, SNUEP-FSU, CGT Educ’action, Sud Education, SGEN CFDT, UNSA Education) appelle les personnels à se mobiliser cette semaine, avec notamment un mouvement de grève dans les collèges et lycées du département ce jeudi 7 mars.
Café Pédagogique
5 mars
Budget 2024 : l’intersyndicale demande des comptes
L’intersyndicale éducation – FSU, UNSA Éducation, FNEC FP FO, SGEN-CFDT, CGT Éduc’action, SNALC et Sud Éducation – demande au ministère des éclaircissements sur les coupes annoncées sur le budget 2024, 692 millions d’euros de crédits annulés. Information apprise par voie de presse. « Nous dénonçons ces coupes budgétaires à un moment où l’École publique manque de tout » écrit-elle dans un communiqué. « Ces annonces sont en contradiction avec les discours tenus ces derniers mois sur la priorité donnée à l’Éducation nationale. Ces revirements incessants sont insupportables. De plus, nous n’avons à ce jour aucune information sur la traduction concrète de ces coupes budgétaires. Nous ne pouvons nous contenter de vagues engagements ministériels sur l’absence de suppressions de postes dans les mois à venir ».
RMC
5 mars
Le lycée Maurice-Ravel a été bloqué vendredi matin par des jeunes, en soutien à l’élève, et les cours ont été suspendus pendant cette journée. Le rassemblement de lundi a eu lieu à l’appel des syndicats de chefs d’établissement SNPDEN-Unsa, Sgen-CFDT et ID-FO, qui dénoncent « les menaces et les violences dont ils sont victimes dans le cadre de leurs fonctions ».
Centre Presse
6 mars
Académie de Poitiers : des chefs d’établissement contre le « choc des savoirs »
La mobilisation de ce mercredi 6 mars 2024 est importante. « On a montré que nous étions déterminés », se félicite Bruno Quintard, du syndicat SGEN-CFDT et principal du collège Camille-Guérin de Vouneuil-sur-Vienne. Environ un tiers des trois cents chefs d’établissement de l’académie était présent, espérant que le gouvernement reviendra sur la réforme.
AEF INFO
7 mars
Reçus par Nicole Belloubet pour les arbitrages sur le « choc des savoirs » le 7 mars 2024, les syndicats saluent la disparition de la notion de « niveaux » dans les textes sur les groupes en collège : « Une victoire contre le tri social » (SE-Unsa). Ils redoutent désormais une « usine à gaz » en termes d’organisation (Snes-FSU) : « Cela suppose une ingénierie pédagogique » (Sgen-CFDT) ; le Snalc dénonce une mise en œuvre « irréalisable ». Le SNPDEN-Unsa se réjouit de l’autonomie laissée aux chefs d’établissements mais pointe « des moyens pas à la hauteur ». La CGT regrette un « manque de cadrage national ».
« L’arrêté rejeté unanimement en CSE a été remanié, toute mention de groupe de niveaux disparaît dans l’ensemble des textes, y compris les annexes », indique à AEF info Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT (lire sur AEF info). « Il n’est plus demandé aux établissements de composer des groupes fondés sur le niveau des élèves », se réjouit-elle. Ces groupes seront composés « en fonction des besoins des élèves et pourront être hétérogènes en termes de niveaux », précise-t-elle. Pour le Sgen, la ministre, « après avoir entendu nos oppositions sur les risques de tri social, redonne la main aux équipes » en permettant, « sous forme de dérogation, que ces enseignements aient lieu dans le cadre du groupe classe ».
MCE en partenariat avec Ouest France
7 mars
École: un assouplissement des règles prévu pour les groupes scolaires ?
Ce jeudi 7 mars, la ministre de l’Education Nicole Belloubet a annoncé un assouplissement des règles prévu pour les groupes scolaires à l’école. Catherine Nave-Bekhti, du Sgen-CFDT insite sur le fait qu’il n’y a pas assez de postes pour ce genre de projet. C’est donc un changement qui continue de faire débat !
La Nouvelle République
8 mars
Indre-et-Loire : plusieurs collèges seront « morts » lundi 11 mars 2024
Cette opération consiste à « demander aux parents de ne pas amener leurs enfants à l’école pour montrer leur solidarité et leur mécontentement face aux “ chocs des savoirs ” » voulus par le gouvernement, explique Tristan Martinod, membre du conseil syndical du Sgen-CFDT Orléans-Tours. « La proposition a été faite en concertation avec les parents d’élèves. » Au collège Corneille par exemple, le personnel et les représentants des parents d’élèves seront devant l’établissement de 8 h à 17 h pour faire entendre leurs revendications.
Café Pédagogique
8 mars
Groupes de niveau : rétropédalage du gouvernement
“La contestation forte contre les groupes de niveau, par les personnels enseignants et de direction, les parents d’élèves a permis de faire bouger la ministre de l’Éducation Nationale”, se réjouit le Sgen-CFDT. “Les mobilisations des équipes dans toute la France, la signature massive de la pétition contre le choc des savoirs, les différentes interventions du Sgen-CFDT auprès des ministres successifs ont permis d’obtenir une évolution de la philosophie d’une réforme du collège qui ne dit pas son nom”. Le syndicat acte la “confiance à l’expertise du terrain et aux sachants que sont les chefs d’établissement” mais renouvelle sa demande de temps de concertation pour définir et réguler cette nouvelle organisation. “La ministre a annoncé qu’il y aura deux demi-journées banalisées d’ici la fin de l’année scolaire pour permettre aux équipes d’avoir le temps de penser leur fonctionnement pour la rentrée. Lors du CSE, nous avions demandé une heure de pondération pour les enseignants concernés, sans succès. Ce temps manque aux personnels qui accumulent les heures supplémentaires, le pacte, les enseignants absents sur de longues durée et non remplacés“. Le syndicat continue “de s’opposer fortement aux mesures du choc des savoir dans leur ensemble“. “Le choc des savoirs n’est pas une orientation de politique éducative qui nous convient” rappelle-t-il.
TF1
11 mars
Éducation nationale : appel à la grève de l’intersyndicale des enseignants le 19 mars
Santé, agriculture, transport ferroviaire… la grogne s’étend à de plus en plus de secteurs professionnels en France, dans une conjoncture économique difficile. Alors qu’ils dénoncent un manque de moyens depuis plusieurs années, les enseignants montent à leur tour au créneau. « Les organisations syndicales de l’Éducation nationale FSU, UNSA Éducation, SGEN-CFDT, CGT Educ’action, SUD éducation constatent et condamnent l’absence de toute perspective de mesures générales d’augmentation des rémunérations dans l’Éducation nationale dans un contexte d’inflation encore soutenue », dénoncent-elles dans un communiqué commun. Conséquence directe, elles appellent à une journée de grève « et à la mobilisation par tous les moyens » le mardi 19 mars.
Le 7.info
12 mars
Contre le « choc des savoirs »
Après plusieurs mobilisations des enseignants et personnels d’éducation, c’est au tour des chefs d’établissement de montrer leur mécontentement. Ils étaient une centaine à s’opposer à la réforme du choc des savoirs mercredi dernier.
La rectrice de l’académie de Poitiers Bénédicte Robert a reçu plusieurs représentants syndicaux comme Bruno Quintard, principal du collège Camille-Guérin de Vouneuil-sur-Vienne et membre du SGEN-CFDT. Le rectorat, « à l’écoute », cherche des solutions pour une rentrée plus apaisée et s’engage à faire remonter les plaintes. Le lendemain, la ministre de l’Éducation nationale, Nicole Belloubet, a annoncé, vouloir assouplir le dispositif des groupes de niveaux en regroupant les élèves dans leur classe de référence.
Capital
12 mars
Grève du 19 mars : l’appel des enseignants pour défendre l’éducation
Les organisations syndicales de l’Éducation nationale appellent à la grève mardi 19 mars pour réclamer de meilleures rémunérations «dans un contexte d’inflation encore soutenu».
Les enseignants seront dans la rue mardi 19 mars. «Les organisations syndicales de l’Éducation nationale FSU, UNSA Éducation, SGEN-CFDT, CGT Educ’action, SUD éducation constatent et condamnent l’absence de toute perspective de mesures générales d’augmentation des rémunérations dans l’Éducation nationale dans un contexte d’inflation encore soutenue», dénoncent les syndicats de l’Éducation nationale dans un communiqué commun, rapporte TF1, lundi 11 mars. Un appel à la grève «et à la mobilisation par tous les moyens» est donc lancé pour le mardi 19 mars.
France Info
13 mars
Groupe de niveau au collège : cela « aboutira de facto à un tri social », alerte le Sgen-CFDT
« Des groupes de niveau, sur la base d’un niveau scolaire qui, dans l’esprit de Gabriel Attal, devait être mesuré par les évaluations standardisées nationales, aboutira de facto à un tri social », a alerté mercredi 13 mars sur franceinfo Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT, alors que le Premier ministre a maintenu auprès de l’AFP mercredi son souhait de mettre en place des groupes de niveau en français et mathématiques au collège, assurant qu’ils seraient « la règle » dans ces matières, et la classe entière « l’exception ».
Catherine Nave-Bekhti estime que l’annonce de Gabriel Attal « va susciter de la colère chez nos collègues », car la ministre de l’Education nationale Nicole Belloubet assurait aux enseignants « il y a à peine une semaine, qu’il ne s’agirait plus de groupes de niveau, mais d’enseignement en groupe et que les équipes auraient la latitude pour structurer et organiser ces groupes et des possibilités d’avoir du temps en classe entière ». Elle déplore le retour aux groupes de niveau dans les propos du chef du gouvernement qui « minore le temps qui pourrait être consacré à l’enseignement en classes entières ». Il n’y a donc, selon elle, « plus de latitude pour les équipes ».
Sud Ouest
13 mars
Bordeaux : les personnels de direction de l’Éducation nationale mobilisés devant le rectorat
Ce ne sont pas les éléments les plus turbulents de l’Éducation nationale, mais même eux commencent à s’agiter : ce mercredi 13 mars après-midi, 150 personnels de direction venus de toute l’académie étaient rassemblés devant le rectorat de Bordeaux. Cette mobilisation est la déclinaison régionale d’un mouvement national, à l’appel d’une intersyndicale SNPDEN-Unsa/ID FO/Sgen-CFDT.
VousNousIls
14 mars
Les chefs d’établissements manifestent contre le choc des savoirs
Pour exprimer leur « ras-le-bol » et leur « épuisement » face aux réformes successives mises en place dans l’éducation ces dernières années, les chefs d’établissements de l’académie de Bordeaux se sont rassemblés ce 13 mars 2024 devant le rectorat. A l’appel d’une intersyndicale SNPDEN-Unsa/ID FO/Sgen-CFDT, ils protestaient notamment contre l’instauration du choc des savoirs et des groupes de niveau en collège à la rentrée 2024.
La Nouvelle République
14 mars
Fermetures de classes dans les Deux-Sèvres : syndicats, enseignants et parents montent au créneau
Article réservé aux abonnés : Soutenu par plusieurs syndicats (1), appuyé par des parents d’élèves, dont nombre étaient d’ailleurs accompagnés de leurs enfants, rejoint par des élus locaux ou responsables politiques (tels que la socialiste Nathalie Lanzi ou l’écologiste François Gibert), ce rassemblement visait à dénoncer la fermeture, dans les Deux-Sèvres à la prochaine rentrée, de trente-six classes et la suppression de vingt-six postes d’enseignants.
Tripalio
14 mars
Utile : la liste des congrès fédéraux et régionaux CFDT prévus en 2024
Le SGEN se retrouve à Lorient
Ce congrès de la CFDT Auvergne Rhône-Alpes, ne sera pas le premier de l’année au sein de la première organisation syndicale de France puisque du 13 au 17 mai 2024, c’est le SGEN CFDT, le syndicat général de l’Education Nationale, qui se réunit à Lorient. Rassemblant 31 organisations territoriales, le SGEN CFDT est dirigé par Catherine Nave-Bekhti, qui en est la secrétaire générale. Bien que cette fédération ne donne pas d’indication quant à ses effectifs d’adhérents, on relèvera que, dans le cadre des élections professionnelles organisées au sein du ministère de l’Education Nationale en 2022, elle a réuni environ 31 500 voix – soit 8 % des votes.
AEF INFO
14 mars
Le SNPDEN-Unsa, ID-FO et le Sgen-CFDT de l’académie de Bordeaux dénoncent de concert « les ajustements permanents » à propos du travail en petits groupes attendu en français et mathématiques en classes de 6e et de 5e à la rentrée. Les 150 chefs d’établissement, rassemblés ce 13 mars 2024 devant le rectorat, se disent épuisés par les volte-face et l’absence de textes pour préparer la rentrée et mettre en place le « choc des savoirs.
ActuLot
14 mars
Collèges et lycées dans le Lot : les syndicats, élus et parents dénoncent le manque de moyens
Les organisations syndicales FSU, Unsa Éducation, FnecFP-FO, Sgen-CFDT, FEP-CFDT, CGT Educ ‘action et Sud Éducation, ainsi que la FCPE (fédération des parents d’élèves) ont été rejoints par les élus (Région et Département) pour manifester ce jeudi 14 mars devant la préfecture à Cahors. Ils demandent à la préfète la mise en place un groupe de réflexion sur l’avenir éducatif dans le département du Lot. « Cette réforme ne répond pas aux besoins des élèves » regrettent les représentants syndicaux.
Le Café Pédagogique
14 mars
Attal contredit en direct par les chefs d’établissement
C’est que les deux ministres sont assaillis de questions et de remarques négatives. Leurs représentants syndicaux sont unanimement contre les groupes de niveau. Pour le Snpden Unsa, Bruno Bobkiewicz remarque qu’il “faut donner une marge suffisante” pour l’application de la réforme. “Non aux groupes de niveau, oui aux groupes à géométrie variable. Nous utiliserons toutes les marges d’autonomie données par les textes. Il faut un nombre d’heures plus importants”, dit-il. Pour ID Fo, Agnès Andersen, estime que la marge d’autonomie revient à confier aux personnels de direction “tout ce que cette réforme n’aura ni pensé ni anticipé“. Elle rappelle que les principaux doivent argumenter devant des équipes hostiles et sans textes. Elle demande le retrait de la réforme. Mme Perron, pour le Sgen Cfdt, manifeste son opposition “aux modalités pédagogiques des groupes de niveau antagoniques aux valeurs qui sont celle de notre organisation“.
Linternaute
14 mars
Grève mardi 19 mars dans les écoles, collèges et lycées : une mobilisation très suivie ?
L’organisation intersyndicale de l’éducation formée par FSU, UNSA Éducation, SGEN-CFDT, CGT Educ’action, SUD éducation appelle les enseignants de tout les niveaux « à la grève et à la mobilisation par tous les moyens le 19 mars. » Les revendications salariales sont au cœur des protestations de la profession. Comme l’indique le communiqué, les syndicats « constatent et condamnent l’absence de toute perspective de mesures générales d’augmentation des rémunérations dans l’Éducation nationale dans un contexte d’inflation encore soutenue ».
Le Café Pédagogique
15 mars
19 mars : Non au choc des savoirs, oui au choc des salaires
Sud éducation, l’Unsa éducation, la FSU, le Sgen-CFDT et la CGT éduc’Action appellent à une large mobilisation mardi 19 mars pour les salaires et pour l’école publique.
AEF INFO
18 mars
La nouvelle réforme de la formation des enseignants « ne peut pas être mise en place à la rentrée 2024. Les questions les plus urgentes pour régler l’attractivité du métier sont celles des salaires et des conditions de travail », estiment plusieurs organisations (FSU, Sgen-CFDT, CGT Educ’action, Snalc) dans un vœu intersyndical adopté par le CSAMEN du 13 mars 2024 (9 pour, 4 abstentions, 2 NPPV).
Capital
18 mars
«Choc des savoirs» : à quoi ressemblera cette classe préparatoire à la seconde ?
Le «choc des savoirs». C’est le nom du plan de Gabriel Attal, présenté alors qu’il était encore ministre de l’Education nationale, pour réformer l’école. Les premiers décrets d’application des mesures du désormais Premier ministre sont parus au Journal officiel dimanche 17 mars. Parmi elles, on retrouve la création d’une classe préparatoire à l’entrée au lycée pour les élèves ayant raté leur brevet.
«En France, depuis la création du collège unique par la loi Haby (loi du 11 juillet 1975), avoir le DNB n’a jamais été une condition pour passer en classe supérieure», rappelle Sylvie Perron, secrétaire nationale du syndicat Sgen-CFDT. Jusqu’alors, les élèves qui ratent le brevet peuvent toujours passer en classe de seconde et rattraper cet examen en fin de première année de lycée. Cette «mesure qui n’a pas grand sens», pour la syndicaliste, transforme le brevet en porte d’entrée vers la classe de seconde.
Ouest France
18 mars
Maine-et-Loire. Les enseignants mobilisés contre le choc des savoirs
À l’appel de l’intersyndicale de l’Éducation nationale (FSU, SUD Éducation, Unsa Éducation, CGT-Éduc’Action, Sgen-CFDT), une grande journée de mobilisation est organisée ce mardi 19 mars. À Angers, une manifestation est programmée à partir de 11 heures place du Ralliement.
Midi Libre
19 mars
Ce mardi 19 mars 2024, les enseignants sont en grève pour protester contre les nouvelles mesures inscrites dans le Journal officiel.
Fronde contre le « choc des savoirs ». Après la dernière grève organisée le 1er février, les enseignants organisent une nouvelle journée de contestation ce mardi. Plusieurs syndicats appellent à la grève pour protester en réponse aux nouvelles mesures inscrites au Journal officiel dimanche. On fait le point sur la mobilisation.
Huffington Post
19 mars
Grève ce mardi 19 mars : professeurs, infirmiers et fonction publique dans la rue, à quoi s’attendre
Dans un communiqué commun avec UNSA Éducation, SGEN-CFDT, CGT Educ’action, SUD éducation, les syndicats appellent au « choc des salaires » avec revalorisation du point d’indice ou augmentation nette, plutôt qu’« au choc des savoirs ».
Ma Commune.info
19 mars
Grève dans la fonction publique : 320 personnes mobilisées à Besançon (syndicat)
Les organisations syndicales FSU, Unsa, SGEN-CFDT, CGT, Sud et FO sont mobilisées aux quatre coins de la France mardi 19 mars 2024 pour défendre les droits de la fonction publique d’Etat, territoriale et hospitalière. À Besançon, le rendez-vous était donné à 10h30 devant la préfecture du Doubs. 320 personnes composent le cortège selon le syndicat CFDT Santé Sociaux du Doubs.
RCF Radio
20 mars
Éducation : les groupes de niveaux au collège divisent.
Rebaptisés, «groupes de besoin », les groupes de niveaux feront leur rentrée en septembre 2024 au collège en maths et le français L’arrêté est paru dimanche au journal officiel. […]Mais après des semaines de consultations, les syndicats d’enseignants ne sont pas plus convaincus. « Il y a eu une avancée dans la rédaction des textes mais, l’arrêté contient une contrainte tellement forte sur la mise en œuvre, avec un pilotage central, et peu d’autonomie laissée aux établissement, qu’on ne voit pas comment on va pouvoir faire des groupes flexibles à la rentrée » s’inquiète Caroline Brisedoux, secrétaire nationale de la fédération SGEN-CFDT. « Il y a un problème de moyens. Pour faire des groupes, il faut diviser les classes et donc avoir plus d’enseignant à ce stade les moyens n’ont pas été donné. » ajoute-t-elle.
Le Quotidien du Médecin
22 mars
Médecine scolaire : le Sénat vote pour « décentraliser », les syndicats inquiets
La chambre haute s’est prononcée en faveur d’un transfert de compétences de l’État aux départements volontaires pour répondre aux difficultés d’accès au bilan de santé scolaire des élèves. Inquiets, les deux principaux syndicats de médecins scolaires doivent rencontrer les services du ministère de l’Éducation nationale.
Le Syndicat national autonome des médecins de santé publique de l’Éducation nationale (Snamspen-Sgen– CFDT) ne digère pas la proposition de loi portée par la sénatrice centriste Françoise Gatel (UDI), adoptée par le Sénat mercredi 27 mars.
BFM TV
22 mars
Gonfler artificiellement les moyennes des élèves au brevet et par conséquent les taux de réussite. C’est une « très très vieille pratique » en vigueur dans la plupart des académies appelée le « correctif académique ».
Même son de cloche du côté de Laurent Gomez, secrétaire national du Sgen-CFDT. « Nous, on est au courant que pour l’harmonisation des notes », assure-t-il.
« Une instrumentalisation » également dénoncée par le syndicat SGEN-CFDT qui s’étonne de la communication des chiffres aux médias par Matignon.
« Il y a une instrumentalisation de l’école à des fins électorales », affirme son sécrétaire national Laurent Gomez qui soupçonne Gabriel Attal de « chasser sur les terres du Rassemblement national » en mettant en avant « l’importance du diplôme ». Un diplome qu’il « sacralise » alors qu’il « n’a pas de valeur sur le marché du travail » et que « les problèmes de l’école ne sont pas là ».
Ouest France
23 mars
Éducation nationale : les syndicats boycotteront le rectorat lundi
L’intersyndicale FSU, CGT éduc’action, Sud éducation, FO, SGEN-CFDT annonce qu’elle continuera de boycotter les comités sociaux d’administration académiques (CSA) pour « « dénoncer l’aggravation des mesures gouvernementales contre le service public d’éducation ; les élèves et l’ensemble des personnels » ». Ce boycott sera accompagné par un rassemblement devant le rectorat de l’académie de Nantes, lundi 25 mars à 8 h 30.
Actu.fr – Liberté
23 mars
Des poussières « aussi cancérogènes que l’amiante » dans un lycée de Caen : un atelier fermé
Les enseignants et les élèves du lycée Dumont d’Urville – Laplace de Caen (Calvados) inhalent-ils des poussières cancérogènes, au sein de l’atelier de menuiserie de l’établissement ? C’est ce qu’avance l’intersyndicale (FSU, Sud Éducation, CGT Éduc’Action, UNSA Éducation, SGEN-CFDT) représentée à la Formation Spécialisée Santé Sécurité Conditions de Travail (F3SCT, ex-CHSCT) du Calvados.
Sqool TV
28 mars
Le Grand JT de l’Éducation – Quelle urgence pour le bâti scolaire ?
La rénovation du bâti scolaire est toujours au cœur des préoccupations. Des milliers d’enfants et d’enseignants travaillent dans des conditions inquiétantes, entre amiante, moisissures et passoires énergétiques. Une loi vient d’être adoptée pour soutenir les communes et les accompagner dans la rénovation des bâtiments scolaires. Pour en parler, Loïc Landrau reçoit Nadège Havet, sénatrice (Renaissance) du Finistère, à l’origine de cette loi, et vice-présidente de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable au Sénat et Vincent Loustau, secrétaire fédéral du SGEN-CFDT, en charge de la sécurité et des conditions de travail.