Sgen‑CFDT dans les médias – Septembre 2022

Publié le lundi 3 octobre 2022 par mmanyar

Revue de presse

1ier septembre

AEF

Enseignement supérieur : au JO des 31 août et 1er septembre et au BO du 1er septembre 2022

François Plessis, représentant titulaire du Sgen-CFDT et Malika Kacimi, représentante suppléante du Sgen-CFDT sont nommés au comité d’hygiène, de sécurité, et des conditions de travail d’administration centrale des ministères chargés de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Convergences Révolutionnaires

Rentrée scolaire : 24 000 enseignants en disponibilité

En effet, les rectorats ne peuvent pas avoir recours à un enseignant en disponibilité, même pour un remplacement. Selon Christophe Huguel, du syndicat Sgen-CFDT, « c’est une jurisprudence de la cour administrative qui date de décembre 1989 : un fonctionnaire qui a été placé en dehors de son administration d’origine, ne peut être recruté par cette dernière, même temporairement ».

5 septembre

France Info

Education nationale : le vivier inexploité des enseignants en disponibilité

D’après Christophe Huguel, secrétaire général du Sgen-Cfdt, sur les 8800 professeurs en disponibilité pour suivi de conjoint, une grande partie aimerait pouvoir travailler.

« C’est rageant (…) dans un contexte de manque d’enseignants »

« C’est rageant pour les personnels qui ne comprennent pas. Le grand public ne comprend pas non plus. Et la pression est beaucoup plus forte cette année dans un contexte de manque d’enseignants. »

Le Télégramme

Dans le Morbihan, les syndicats retoquent le projet de carte scolaire

« Habituellement, les syndicats responsables s’abstiennent sur cette base mais là ?des cas d’écoles se sont égrenés, une vingtaine, où il faudrait une ouverture en raison d’effectifs chargés », explique Jocelyn Verdier du syndicat Sgen-CFDT.

« Le cas de Sévigné a été évoqué mais cela dépasse le cas de cette école. On ne pourra pas ne pas faire une table ronde pour se reposer la question du maillage des écoles publiques à Vannes, dit Jocelyn Verdier. Il faut que le maire dise comment il veut structurer les écoles publiques pour assurer leur pérennité ».

6 septembre

France culture

Le ministre de l’Education Pap Ndiaye avait promis qu’il y aurait bien un professeur devant chaque classe à la rentrée. Mais malgré l’embauche de 3 000 nouveaux contractuels, formés précipitamment juste avant la reprise des cours, force est de constater que la promesse n’est pas tenue. Le syndicat Sgen-CFDT a fait un premier bilan ce matin.

SNUipp FSU

REMBOURSEMENT DES FRAIS DE DEPLACEMENT : C’EST PLUS QU’URGENT !

L’intersyndicale FSU, UNSA Education, FNEC-FP-FO, Sgen-CFDT et SNALC a adressé en urgence ce lundi 5 septembre 2022 un courrier à l’Inspecteur d’académie ainsi qu’à son Secrétaire général, pour les alerter sur le fait que les frais de déplacement de personnels itinérants (RASED, PEMF…) de 2021-2022 n’avaient toujours pas été payés !

AEF

Avec l’arrivée de Pap Ndiaye, le Sgen-CFDT salue des « inflexions pertinentes » mais soulève des « inquiétudes »

La rentrée n’a pas été « aussi catastrophique » que prévu, souligne Catherine Nave-Bekthi, le 6 septembre 2022 lors d’une conférence de presse. Concernant la crise de recrutement, la secrétaire générale du Sgen-CFDT demande « la titularisation de tous les contractuels sous condition de durée d’exercice » ainsi qu’un « cadre pluriannuel » pour la revalorisation des enseignants. Par ailleurs, elle salue « la manière de conduire les échanges avec les syndicats » et « l’attention plus marquée à la réduction des inégalités sociales » de Pap Ndiaye.

« Dans la manière de conduire les échanges avec les organisations syndicales », précise la syndicaliste. Le manque d’écoute et d’empathie était en effet reproché à Jean-Michel Blanquer par les organisations syndicales. Même si Catherine Nave-Bekhti regrette la « précipitation » sur la réintroduction des mathématiques au lycée et que « le constat, les objectifs et les chemins arrêtés en vue d’une réforme de la voie professionnelle aient été décidés sans dialogue social ».

Quant au fond, les « inflexions » se perçoivent à plusieurs niveaux, note la responsable du Sgen-CFDT : « Sur l’attention plus marquée à la réduction des inégalités sociales ; sur le renforcement et la défense des budgets d’aides sociales dédiées aux élèves ; sur le renforcement de la logique de cycle et de la liaison école-collège ; avec une vision différente du projet pédagogique, où il ne s’agirait plus de répondre à une commande ministérielle mais de partir du terrain ».

Une rentrée « pas aussi catastrophique » que prévu

Le dernier quinquennat, poursuit-elle, « a laissé des traces fortes en termes de fatigue professionnelle » et de fonctionnement du système, notamment avec la « crise de recrutement », considère Catherine Nave-Bekhti. Le Sgen tire un premier bilan de la rentrée.

Dans le premier degré, le syndicat estime qu’il y a globalement « un enseignant dans chaque classe mais toutes les décharges, les temps partiels ne sont pas effectifs ». Certaines académies toutefois – celles d’Île-de-France ou la Haute-Savoie par exemple – manquent d’enseignants. Si la rentrée n’a pas été « aussi catastrophique que ce à quoi on pouvait s’attendre », c’est le résultat d’un lourd travail pour « celles et ceux qui l’ont préparée ».

Catherine Nave-Bekhti remarque en outre des « difficultés lors de l’affectation des stagiaires, qui se retrouvent parfois très loin de chez eux », voire qui ont été affectés la veille de la rentrée. Le Sgen a même des « retours concernant des abandons » de stagiaires et « craint des difficultés à les remplacer en cas de démission dans l’année ».

« Pour la titularisation de tous les contractuels »

Concernant le second degré, la situation, indique Catherine Nave-Bekhti, est « moins tendue que l’an passé mais on revient aux difficultés habituelles, plus marquées dans les académies les moins attractives, avec des manques d’enseignants et des remplacements longs probablement difficiles à assumer dans certaines disciplines (SVT, maths…) ». Aussi, certaines « classes sont chargées au-delà du raisonnable ».

Et, si cette rentrée s’est déroulée de manière convenable, pour le Sgen, c’est « au prix de l’utilisation de stagiaires comme moyens d’enseignement et du recours à des contractuels ».

À ce propos, le Sgen attend du ministre « qu’il ouvre rapidement les discussions sur le concours exceptionnel de contractuels afin de décrire les conditions de stage, de formation, de titularisation et de prise en charge de leurs carrières antérieures ». Le syndicat revendique de son côté « la titularisation de tous les contractuels sans concours – ce qui suppose des modifications législatives – mais sous condition de durée d’exercice ». Catherine Nave-Bekhti justifie : « Les contractuels sont évalués : s’ils exercent bien leurs missions, pourquoi on ne les titularise pas ? On a tout intérêt à les stabiliser, à reconnaître leur travail, pour les sortir de la précarité et pour le bon fonctionnement du service d’éducation ».

Revalorisation : le Sgen veut « un cadre pluriannuel »

« Il faut une revalorisation significative des carrières et des rémunérations, l’amélioration de la réforme de la formation initiale, qui est passée à côté de ses objectifs, ainsi que l’amélioration des conditions d’entrées dans le métier et des conditions de travail ». En outre, l’amélioration des rémunérations et des conditions de travail doit « concerner d’autres catégories de personnels »

Une « inquiétude forte » sur la réforme de la voie pro

La réforme à venir de la voie professionnelle. Elle est, pour Catherine Nave-Bekhti, une « forme d’aveu d’échec de la précédente réforme dont les personnels ne peuvent être tenus responsables ». Au sujet de celle à venir, il y a une « inquiétude forte chez les personnels des lycées professionnels et nous attendons des clarifications, du dialogue ». La secrétaire générale estime qu’il faut « placer les employeurs devant leur responsabilité sociale : la lutte contre les discriminations, l’accueil des stagiaires et des apprentis, affirmer que les salariés tuteurs s’inscrivent bien dans une logique de formation… »

Évolution de la formation initiale des enseignants. Si, pour l’heure, il n’y a eu que « des propos rapides du président de la République et du ministre ». En outre, placer le concours avant le master « ne nous semble pas une bonne option ».

L’ajustement du calendrier des épreuves de spécialités. Alexis Torchet, secrétaire national du Sgen-CFDT, estime qu’un « report en juin poserait problème car ce serait largement après l’orientation et il y aurait le risque que les épreuves ne soient que symboliques ».Le Sgen pose aussi « la question du contenu des épreuves car un des problèmes est de mettre une épreuve de bilan, de 4 heures, en mars, ce qui impose une forte pression autour de la préparation et des programmes ».

AEF

Sylvie Retailleau aux IGÉSR : « Nous avons besoin de votre expertise et de votre impartialité »

un groupe de travail pour élaborer le statut spécifique des IGÉSR

Caroline Pascal indique qu’un groupe de travail est chargé d’élaborer le projet de statut spécifique des IGÉSR, après la publication du « méta-statut » des AE. « Il doit être publié avant fin décembre et passer devant les CT ministériels en novembre », précise-t-elle, soulignant le caractère « urgent » de ce travail mené par Patrick Allal et Cristelle Gillard, responsables du pôle « affaires juridiques et contrôle » sortant pour le premier, entrante pour la seconde, et avec l’APIGESR et le Sgen-CFDT.

News Tank

CNR : « Risque de hiatus avec la démarche de projet pédagogique » (C. Nave-Bekhti, Sgen-CFDT)

https://education.newstank.fr/article/view/263033/cnr-risque-hiatus-demarche-projet-pedagogique-nave-bekhti-sgen-cfdt.html?t=a&a=712185&p=34070&d=13,86

« Il y a beaucoup de questions sur l’articulation entre la démarche de projet pédagogique dans les établissements et celle du Conseil national de la refondation. Il y a un hiatus ou une redondance possible entre les deux », déclare Catherine Nave-Bekthi, secrétaire générale du Sgen-CFDT, le 06/09/2022.

« Laurent Berger a dit très clairement au nom de la confédération que nous irons à cette journée de lancement. La CFDT a suffisamment demandé dès mai 2017 à Emmanuel Macron de partager le pouvoir et d’ouvrir des espaces de démocratie sociale et citoyenne pour aller de l’avant, élaborer des évolutions et définir des mesures pour le pays, que nous n’allons pas claquer la porte à la veille du lancement », rappelle la secrétaire générale du syndicat.

« Par contre, nous avons beaucoup d’interrogations sur la manière dont cela va se dérouler. Il y a quand même eu la convention citoyenne sur le climat qui a élaboré des propositions très précises, et puis nous avons vu ce que c’est devenu. Nous espérons, et normalement cela ne devrait pas être le cas, que nous n’allons pas tomber dans un exercice du type de celui du grand débat avec le gouvernement dans un dialogue direct avec les individus, et puis, ensuite, des décisions qui tombent et restent très verticales. »

« Il existe des institutions qui savent structurer un dialogue citoyen »

« Nous avons interrogé le ministre [de l’éducation, Pap Ndiaye] dès que nous l’avons rencontré en juin 2022 sur le fait qu’il existe quand même dans notre pays des institutions qui savent structurer un dialogue citoyen, y compris territorial autour du Cese et des Ceser, et qu’il y a des acteurs de la société civile, du côté des organisations syndicales et des associations, auxquels il faut donner un rôle et une place dans ce travail-là.

Dans le rapport Bernasconi  [sur la participation citoyenne, 2021], il y avait des éléments sur l’articulation des différents dialogues – démocratie politique, dialogue territorial et démocratie locale – mais aussi la distinction avec le dialogue professionnel et le dialogue social.

Ce sont ces différentes dimensions qu’il faut articuler si on veut revivifier la démocratie, mais pour le moment, nous savons très peu de choses sur la manière dont le CNR va s’organiser, quelle durée il aura et quels débouchés. »

Projets pédagogiques : « Qu’est-ce qui est finançable ? »

Selon Alexis Torchet, secrétaire national du Sgen-CFDT en charge des politiques éducatives : « Pour le moment, un cadre, une sorte de label qu’est le CNR est posé. Ensuite, il y a l’idée d’inciter les équipes, les établissements, les écoles à réfléchir sur leur projet dans la logique de ce qui a pu se faire à Marseille. Mais qu’est-ce qu’on entend par projet ? Des projets pédagogiques, éducatifs, d’établissement ? Est-ce qu’on est dans une logique de projet dans le sens d’un appel à projets ? Qu’est-ce qui est finançable dans le cadre du fonds d’innovation doté de 500 M€ ? »

« Des objectifs doivent être clarifiés parce que rien ne serait pire que le malentendu, qui garantit l’échec. »

« Nous attendons un dialogue social au niveau national sur cette logique des projets pédagogiques dans les établissements. Nous avons également une question importante qui est celle de leur pérennisation », ajoute Catherine Nave-Bekthi.

ToutEduc

Voie professionnelle: les syndicats unanimes dénoncent les intentions d’E. Macron

« Le leitmotiv ‘on apprendrait mieux sur le tas’ tout comme l’amalgame des lycées professionnels à un ‘gâchis’ généralisé sont inacceptables. C’est pourquoi les organisations syndicales CGT Educ’action, CNT-FTE, SE-UNSA, SNALC, SGEN-CFDT, SNUEP-FSU, SNETAA-FO et SUD Éducation appellent l’ensemble des personnels des lycées professionnels et Érea à se réunir (…) afin de débattre d’une réponse collective à construire et préparer les mobilisations nécessaires. »

Elles considèrent que la volonté du président de la République « d’engager une nouvelle réforme de la voie professionnelle sous statut scolaire » et de la faire converger « vers le modèle de l’apprentissage » constitue « une menace forte pour l’avenir des lycées professionnels, des PLP et des élèves de la voie professionnelle ». Ceux-ci « n’ont pas besoin de plus d’entreprise mais de plus d’école, plus de culture et d’enseignement général, bref de plus de bases scolaires ».

07 septembre

Le Figaro

«Le ministre n’a aucune idée de ce qui se passe réellement»: après la rentrée, l’inquiétude persiste dans les établissements scolaires

Les organisations syndicales, elles, sont loin d’évoquer une «réussite». «Dire que la rentrée s’est passée dans de bonnes conditions, non. Cela s’est fait dans un contexte de tensions très fortes», commente Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT, syndicat de personnels de l’Éducation nationale.

France Info

une semaine après la rentrée, l’académie toulousaine face au manque d’enseignants

Et il sera difficile de remplacer toutes les absences des enseignants dans ces matières au cours de l’année. « Les collègues ont appris très tard où ils allaient pratiquer, avaient parfois préparé un niveau de classe, avaient contacté les établissements, et avaient dû tout refaire, déplore Catherine Nave-Bekhti, du syndicat Sgen-CFDT. Et l’on sait que pour certains enseignants stagiaires, cela se traduit par une affectation très éloignée de leur domicile et de leur lieu de formation.

« Nous craignons que ces collègues ne craquent et se rendent compte qu’au vu des dépenses à engager pour leur déplacement, il n’est pas intéressant même d’un point de vue économique, de persévérer dans cette voie. » Catherine Nave-Bekhti, du syndicat Sgen-CFDT

L’Etudient EducPros

La hausse du salaire des nouveaux enseignants suscite d’autres questions pour les syndicats

Une revalorisation qui aura un impact sur toute la grille salariale

« Cela s’appelle une inversion de carrière, explique Catherine Nave-Bekhti du Sgen-CFDT. A la suite de cette annonce, il faut travailler sur le reste des échelons pour dessiner une trajectoire qui fasse sens. Surtout, il faut éviter des plateaux de stagnation pour les salaires. »

AEF

PFMP, gratification, carte des formations : les attentes des principaux syndicats sur la réforme du lycée pro

Une intersyndicale réclame « des clarifications »

Dans un communiqué publié mardi 6 septembre 2022, une intersyndicale réunissant la CGT Éduc’action, la CNT-FTE, le SE-Unsa, le Snalc, le SGEN-CFDT, le Snuep-FSU et le Snetaa-FO, fait le constat d’une « inquiétude réelle » et dénonce une feuille de route « floue », pour laquelle elle demande des « clarifications rapides ».

Elle appelle « l’ensemble des personnels des lycées professionnels et Érea à se réunir dès ce début septembre en heures d’informations syndicales ». Elle annonce en outre avoir convenu d’une « nouvelle date de réunion pour amplifier la réponse collective qui fera échec à ce projet de désorganisation de la voie professionnelle scolaire ».

8 septembre

AEF

Sylvie Retailleau au CTMESR : « Je viendrai vous expliquer les arbitrages et les choix qui sont faits »

Les réponses de Sylvie Retailleau aux syndicats

Coût de l’énergie. Pour faire face à la hausse du coût de l’énergie dans les établissements, Sylvie Retailleau « a laissé entendre que des arbitrages étaient en cours », « ils cherchent des modes de compensation », relate Christophe Bonnet, secrétaire national du Sgen-CFDT.

Recrutements. Interpellée sur le besoin de création de postes, « la ministre nous a dit qu’elle n’avait pas de réponse toute faite à nous apporter, mais qu’elle comprenait la problématique », rapporte Christophe Bonnet.

AEF

Déterminisme social, entreprises, pilotage : Carole Grandjean précise ses objectifs pour les lycées professionnels

« une feuille de route floue », selon une intersyndicale de la voie pro

Une intersyndicale, constituée de la CGT Éduc’action, la CNT-FTE, le SE-Unsa, le Snalc, le SGEN-CFDT, le Snuep-FSU et le Snetaa-FO, dénonce une feuille de route « floue » pour le lycée pro. Elle exprime une « inquiétude réelle » et  demande des « clarifications rapides ». Elle annonce avoir convenu d’une « nouvelle date de réunion pour amplifier la réponse collective qui fera échec à ce projet de désorganisation de la voie professionnelle scolaire »

10 septembre

La Presse de la Manche

Rentrée scolaire. Dans la Manche, « il y a un réel manque de moyens dans les écoles »

Un peu plus d’une semaine après la rentrée scolaire du premier degré, Richard Viaux, secrétaire du Sgen-CFDT dans la Manche, a répondu à nos questions.

La rentrée scolaire a eu lieu il y a un peu plus d’une semaine. Quelles sont vos remontées ?

Pour les enseignants, il y a un manque de moyens humains. Durant l’année, les remplacements seront difficiles. Il manque 16 postes de remplaçants par rapport à l’avant-Covid-19, malgré les annonces de la Dasen (directrice académique des services de l’Éducation nationale, NDLR). Les tensions sur le remplacement sont visibles dès la rentrée dans certaines zones du département.

Que pensez-vous du recrutement de contractuels ?

L’administration place des contractuels, 17 au total, sur les congés longs, comme les congés maternité, car les titulaires sont placés sur des postes fractionnés. Cela crée des tensions et des crispations. La formation des contractuels et le suivi pédagogique restent insuffisants au vu des exigences. Ils sont utilisés alors que la liste complémentaire, celle des personnes n’ayant pas été admises de justesse au concours, n’est pas épuisée. Une solution pour éviter que ces personnes n’obtiennent pas le statut de fonctionnaire.

Qu’en est-il des effectifs en classe ?

En moyenne, le nombre d’élèves par classe est inférieur à 22. Cela peut paraître confortable, mais la réalité est souvent éloignée de ce chiffre. Des classes affichent 28 à 30 enfants, quand d’autres sont à seulement 10. Le dédoublement des CP et CE1 fait grimper le nombre d’élèves dans d’autres classes. Le Sgen-CFDT fait ce constat dans le premier degré, mais ce manque de moyens humains se constate aussi dans le second degré et dans les services administratifs, d’intendance et de la vie scolaire.

L’augmentation des prix de l’énergie, notamment pendant l’hiver, inquiète-t-elle ?

Les moyens matériels dans les écoles sont de la responsabilité des municipalités et intercommunalités. Le bâti scolaire est à la charge des mairies, mais beaucoup ne sont pas conscients de l’urgence, comme les travaux d’isolation non réalisés, l’existence de préfabriqués, le chauffage électrique ou au fioul. Nous sommes inquiets face aux mesures que vont prendre les municipalités, telle la baisse du chauffage. La hausse des prix de l’énergie risque également d’impacter certaines pratiques pédagogiques car il y aura moins d’argent pour financer les déplacements à la piscine, les sorties au cinéma, au théâtre…

La Dasen de la Manche vient d’annoncer son départ. Comment l’avez-vous pris ?

C’est la deuxième fois qu’un Dasen part en prévenant les proviseurs et directeurs de collèges et lycées. Mais encore une fois, les écoles n’ont pas été destinataires de cette information. Cela prouve le manque de considération pour le premier degré.

20 Minutes

Rentrée scolaire 2022 : Y a-t-il vraiment un prof devant chaque classe en ce mois de septembre ?

Le second degré touché en premier, le primaire pas épargné

« Certains contractuels n’ont reçu leur affectation qu’après la rentrée », explique aussi Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT.

12 septembre

AEF

Bâti scolaire : des voix s’élèvent pour une meilleure prise en compte de la transition écologique

Lors de leurs conférences de presse de rentrée respectives, le Snes-FSU (lire sur AEF info) et le Sgen-CFDT ont également évoqué « l’urgence » de la transition écologique.

Ouest France

Rentrée dans la Manche : un syndicat enseignant revoit la copie de l’inspectrice d’académie

​Lors d’une conférence de presse, ce vendredi 9 septembre 2022 à Saint-Lô (Manche), le syndicat enseignant Sgen-CFDT a corrigé la copie « rentrée » de l’inspectrice d’académie.

Le syndicat du Sgen-CFDT Manche n’a pas la même version idyllique de la rentrée scolaire dans le département que celle de Sandrine Bodin, l’inspectrice d’académie.

« Il manque 16 postes par rapport à l’avant-Covid »

« Du côté des moyens humains, dans le premier degré, les difficultés de remplacements demeurent. Il manque 16 postes par rapport à l’avant-Covid. Ce n’est pas la redistribution de postes en lien avec la fermeture de classes qui changent la donne », selon les deux syndicalistes.

« Il y a des tensions. Faire appel aux contractuels n’est pas la solution miracle. Même si on souhaite les accueillir au mieux, ils ne sont pas aussi formés que les jeunes enseignants et sont considérés comme des bouche-trous. Sans parler du suivi pédagogique insuffisant au vu de ce que l’on exige des enseignants auprès de classes hétérogènes. »

« Si on voulait dégoûter nos jeunes collègues, on ne s’y prendrait pas autrement »

L’inspectrice joue la comptable selon le Sgen-CFDT : « La réalité sur le terrain est tout autre ! Si on voulait dégoûter nos jeunes collègues, on ne s’y prendrait pas autrement. » Des exemples ? Le dédoublement en classe en zones sensibles. « Il existe dans certains secteurs mais pas partout. Des classes dédoublées de CP et CE à 12 écoliers, c’est bien ! Mais on surcharge les autres classes qui peuvent monter jusqu’à 28. Bref, c’est à géométrie variable. Comme avec les classes ULIS (unité localisée d’inclusion scolaire) censées être limitées à 12 élèves qui passent à 13 voire 14. » Le plafonnement en Grande section, CP, CE à 24 élèves ? « D’accord mais force est de constater que cela est au détriment des autres niveaux. »

Un point positif ? « Les 13 postes d’AESH (accompagnants d’élèves en situation de handicap) en plus. Mais l’an dernier 5 % des élèves n’étaient pas accompagnés. Et impossible, en cette rentrée, d’avoir les chiffres du nombre d’écoliers qui ont besoin d’être aidés et qui le sont vraiment. »

13 septembre

AEF

Le Cneser s’oppose au décret créant l’EPE université Toulouse Capitole et à celui transformant TSE en grand établissement

C’est une « structuration impossible », juge Christophe Bonnet (Sgen-CFDT). « Nous n’avons jamais eu de réponses sérieuses sur ce que ces statuts dérogatoires permettent de faire et qui était impossible avant », ajoute-t-il. « Il n’y a aucune justification à ces statuts dérogatoires. Tout ce qui est proposé est déjà possible dans le code de l’éducation », abonde Pierre Chantelot, du Snesup-FSU qui souligne le « consensus très fort » du Cneser contre les deux textes.

14 septembre

20 minutes

Rentrée des classes 2022 : Pourquoi les évaluations nationales sont-elles toujours contestées ?

https://www.20minutes.fr/societe/3348767-20220914-rentree-classes-2022-pourquoi-evaluations-nationales-elles-toujours-contestees

« On ne sait toujours pas à quoi servent ces évaluations. Sont-elles un objet de communication politique ou un outil de travail pour les enseignants ? », interroge ainsi Alexis Torchet, secrétaire national du Sgen-CFDT.

« Cela génère parfois du stress »

Ces tests sont aussi considérés comme particulièrement chronophages : « Dans le premier degré, c’est un travail énorme pour les faire passer et saisir les résultats informatiquement », souligne Alexis Torchet.

Vousnousils

Les évaluations nationales de début de CP, CE1 et 6e ont débuté cette semaine. Beaucoup d’enseignants contestent toujours leur utilité.

Aujourd’hui, « on ne sait toujours pas à quoi servent ces évaluations », déplorait Alexis Torchet, secrétaire national du Sgen-CFDT, dans 20minutes ce mercredi.

Ouest France

Un appel à la grève ce jeudi 15 septembre au lycée Curie-Corot à Saint-Lô

« Le personnel enseignant du lycée Curie-Corot de Saint-Lô (Manche), soutenu par les syndicats CGT, Sgen-CFDT et Snep-FSU, appelle à la grève le jeudi 15 septembre 2022. »

ToutEduc

Quel premier bilan pour la rentrée 2022? La réponse des syndicats aux députés

1ier degré

Pour Claire Marion, secrétaire fédérale SGEN-CFDT, “le positionnement des stagiaires sur des berceaux à 50% ou à 100% a mis à mal tout le monde, on ne sait toujours pas comment ils vont être formés et par qui, Education Nationale ou Inspé ».

2nd degré

A l’instar de Sophie Santraud, secrétaire fédérale SGEN-CFDT qui requiert de la “confiance“, Frédéric Chassagnette, secrétaire national du SNETAP-FSU demande au gouvernement du respect.

AEF

Bac 2023 : vers des épreuves de spécialité organisées fin mars malgré l’opposition unanime des syndicats

Tous les syndicats – y compris le SNPDEN-Unsa – se sont opposés à ce calendrier et tous, sauf le Sgen-CFDT, ont demandé un report en juin : « Nous avons critiqué l’organisation en mars mais ce n’est pas en touchant seulement au calendrier que nous allons améliorer la situation », explique à AEF info Alexis Torchet, du Sgen, qui veut une « refonte globale de l’architecture ».

15 septembre

Le café pédagogique

La rentrée, les syndicats et les députés

Comment répondre à la crise du recrutement ?Le Snuipp, comme FO, invite à utiliser les listes complémentaires sur lesquelles 302 personnes restent sur le carreau. « Mais vont-ils accepter les postes » interrogent S Santraud et C Marion du Sgen Cfdt qui pointent les refus d’aller dans certaines régions

19 septembre

Le Journal Toulousain

Insécurité : quelle est la situation au lycée Gallieni à Toulouse ?

L’œuvre d’une centaine d’élèves « qui posaient de réels soucis de sécurité » et « empêchaient ceux qui étaient motivés de travailler », expliquait alors Fabian Bergès, professeur de mathématiques et secrétaire adjoint du SGEN-CFDT 31.

Ouest France

Écoles du Morbihan. Les syndicats « exigent des moyens supplémentaires »

https://www.ouest-france.fr/bretagne/morbihan/ecoles-du-morbihan-les-syndicats-exigent-des-moyens-supplementaires-ace36a2c-3811-11ed-8ce0-a7ed58f597f6

Les organisations syndicales, qui siègent dans les instances consultatives (CGT, SGEN-CFDT56, SNUDI-FO56, SNUipp-FSU56, SUD Education56 et Unsa et FCPE), déplorent « l’écart entre le discours officiel et la réalité des écoles qui manquent de postes ».

Le directeur académique des services de l’Éducation nationale dans le Morbihan a acté les ajustements de la carte scolaire pour les écoles publiques du Morbihan, le 14 septembre 2022. Les organisations syndicales, qui siègent dans les instances consultatives (CGT, SGEN-CFDT56, SNUDI-FO56, SNUipp-FSU56, SUD Education56 et Unsa et FCPE), déplorent « l’écart entre le discours officiel et la réalité des écoles qui manquent de postes ».

« En cette rentrée 2022, à trois reprises, le projet de carte scolaire du premier degré a subi un vote contre de la part de l’ensemble des organisations syndicales, y compris des parents d’élèves. Situation totalement inédite dans le Morbihan lors d’une rentrée, rappellent les syndicats dans un communiqué commun. Alors que le département connaît une croissance de ses effectifs par rapport aux prévisions, il doit effectuer sa rentrée avec 0 poste supplémentaire. En conséquence, des écoles élémentaires se retrouvent à plus de 27 élèves de moyenne et des écoles maternelles à plus de 30 élèves. De plus, aucun nouveau poste de remplaçant n’a été créé dans un contexte où, régulièrement, se pose la question du remplacement des enseignants absents. »

Les syndicats « exigent, auprès du recteur de l’académie de Rennes et du ministre de l’Éducation Nationale, des postes supplémentaires pour le département. »

AEF

« Une flambée de l’énergie ferait forcément couler les budgets » des universités (Sgen-CFDT, conférence de rentrée)

Formation initiale des enseignants dès le post-bac, « conditions d’exercice qui sont loin d’être satisfaisantes », inflation des prix de l’énergie, attente d’une « loi de programmation de l’enseignement supérieur »… Le Sgen-CFDT a réalisé sa conférence de presse de rentrée pour l’enseignement supérieur le 19 septembre 2022. Les moyens et recrutements ont une nouvelle fois été au cœur des échanges, avec le constat d’un « sous-encadrement étudiant aussi bien sur le plan pédagogue et administratif, mais aussi social et de santé »

Cette rentrée s’ancre sous le signe de la « continuité », affirme Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT, pendant la conférence de rentrée du syndicat, le 19 septembre 2022. Continuité aussi bien du côté du Sgen que du nouveau gouvernement, avec des « éléments d’ouverture » de la part du ministère. « L’enjeu majeur reste le même : celui de la qualité de la formation dans l’enseignement supérieur et la qualité de recherche pour l’avenir de notre pays », affirme Catherine Nave-Bekhti.

Mais, souligne-t-elle, « cela suppose de personnels en nombre suffisants et dont le travail est tout autant soutenu que reconnu ». Or cela entre en conflit avec « le sous-investissement dans l’ESR depuis plusieurs années », qui aboutit « à des conditions d’exercice qui sont loin d’être satisfaisantes », avec « un sous-encadrement étudiant aussi bien sur le plan pédagogue et administratif, mais aussi social et de santé ».

De son côté, Christophe Bonnet, secrétaire national, met en garde « contre l’effet boule de neige », avec un mal-être de certains personnels qui peut se muer en maladie avec le temps, comme le burn-out, ce qui entraîne « une surcharge pour les autres ».

Mettre l’accent sur l’orientation, comme l’a réaffirmé la ministre Sylvie Retailleau lors de sa conférence de presse du 15 septembre, « suppose une capacité à consacrer du temps aux étudiants », insiste Catherine Nave-Bekhti.

’augmentation du coût de l’énergie

« Nous voyons que certaines universités mettent en place des plans prévoyant une fermeture hivernale », affirme Christophe Bonnet, qui dit attendre les mesures promises par la ministre Sylvie Retailleau pendant sa conférence de rentrée. « Une flambée de l’énergie ferait forcément couler les budgets. Et nous savons très bien que la variable d’ajustement derrière, ce sont les recrutements. »

Interrogée sur la position du Sgen-CFDT entre le maintien de cours en présentiel, au risque de faire grimper la facture, et l’utilisation des cours à distance, Catherine Nave-Bekhti répond préférer « que les universités aient les moyens de continuer de proposer des cours en présentiel. Mais nous ne sommes pas hostiles à une utilisation de l’enseignement à distance, à condition que ce basculement ne soit pas total ».

« Cette crise va mettre en lumière à quel point un grand nombre des bâtiments de nos universités françaises est en très mauvais état », souligne de son côté Françoise Lambert, également secrétaire nationale du Sgen-CFDT.

LPR : les chercheurs « passent trop de temps sur la recherche de financements »

Sur le sujet de la LPR, Catherine Nave-Bekhti estime que sa mise en place doit continuer d’être suivie. Mais elle s’est d’ors et déjà faite avec des « mesures problématiques, comme les chaires de professeurs junior ». Autre observation : les chercheurs « passent trop de temps sur la recherche de financements ».

Elle regrette également de ne pas avoir réentendu parler d’une « loi de programmation de l’enseignement supérieur » depuis la campagne présidentielle. « Pour nous, c’est un renoncement problématique. »

Élargir les bénéficiaires du Ripec

Sur le volet « carrières et rémunérations », le Sgen-CFDT fait part de trois axes de revendication :

  • revaloriser le point d’indice
  • requalifier les emplois
  • améliorer la politique indemnitaire

« L’État doit revoir les subventions des établissements pour compenser la hausse de valeur du point d’indice, non seulement pour les fonctionnaires, mais aussi pour les contractuels », indique Catherine Nave-Bekhti. La revalorisation des Biatss est aussi demandée pour être au même niveau que les personnels de l’Aenes. La titularisation des « contractuels expérimentés » et sans concours est une nouvelle fois demandée.

Sur le Ripec, Catherine Nave-Bekhti affirme qu’un travail est en cours avec le MESR pour « s’assurer du suivi de la mise en œuvre des mesures au bénéfice de tous les agents ». Ainsi, le Sgen-CFDT indique, dans son dossier de presse, que « les enseignants et CPE des premiers et second degrés affectés à l’enseignement supérieur doivent bénéficier du Ripec ». Enfin, elle dit accueillir favorablement « les ouvertures conséquentes » de la ministre Sylvie Retailleau « en terme d’engagement pluriannuel sur le plan budgétaire dans l’enseignement supérieur ».

Formation des enseignants : favorable à un parcours post-bac

Revenant sur la rentrée, le Sgen-CFDT rappelle le contexte particulier de l’année précédente, avec un passage du concours du M1 au M2 qui a de facto amenuisé le vivier de candidats pour cette année précise. Pas question d’encourager une nouvelle réforme, alors que la dernière entre à peine en vigueur, mais la question de la responsabilité du mode recrutement dans la situation actuelle « se pose », affirme Françoise Lambert.

Ainsi, elle estime que le concours post-réforme de la formation des enseignants demeure encore « très massivement disciplinaire », avec en parallèle un M2 Meef qu’elle juge trop lourd. Elle note aussi la disparité de traitement entre les détenteurs du concours, selon qu’ils sont en possession d’un master Meef ou non.

« Là encore, les Meef sont sur la double peine puisqu’ils n’ont quasiment plus de formation », estime Françoise Lambert. Autre problème : « les stages ont été conçus, dans leur grande majorité, comme des moyens de remplacement par les rectorats », dénonce-t-elle. Tous ces facteurs réunis ne sont pas de nature à promouvoir le master Meef face à un master disciplinaire, analyse Françoise Lambert.

« Le Sgen-CFDT a une posture de travail régulier et de contact suivi avec France Universités, notamment sur le sujet de la formation des enseignants », affirme Catherine Nave-Bekhti, qui rappelle son attachement à « l’universitarisation de la formation des enseignants ». Elle encourage aussi un traitement conjoint par le MESR et le MEN.

Autre proposition du Sgen-CFDT : que les étudiants détenteurs d’un master Meef passent « un concours réservé avec des épreuves uniquement professionnelles (une estimation de compétences professionnelles) alors que les candidats issus d’autres masters ou en réorientation professionnelles pourraient subir davantage d’épreuves (modèle actuel) ». Et en gardant bien le concours en fin de M2.

20 septembre

AEF

Paris-III : par manque de place sur le campus de Nation, l’université reporte la rentrée de deux semaines

En outre, l’université bascule les enseignements transversaux en ligne, ce qui représente « 20 % des cours », selon Thierry Fratti, élu Sgen-CFDT au CHSCT. En outre, afin de libérer des salles, l’université bascule en distanciel asynchrone les enseignements transversaux du bureau des enseignements (dont les cours de langue), et ce durant toute l’année. Selon Thierry Fratti, élu Sgen-CFDT au CHSCT de Paris-III, cela représente « 20 % des cours ».
Pour faire face à cette situation, l’université a d’ailleurs recouru à la location d’une quinzaine de salles, réparties sur trois sites : Porte de Vanves, Cité Internationale, La Défense. Selon Thierry Fratti, élu Sgen-CFDT au CHSCT de l’établissement, le coût lié à ces locations s’élève à « 500 000 € » pour l’année universitaire.

News Tank

LPR: « Assurer la suivi de sa mise en oeuvre et son bénéfice à tous les agents »

« La LPR a été un pas important en termes de financement mais porte des mesures problématiques comme les CPJ. En parallèle, le Sgen-CFDT a beaucoup agi et obtenu des mesures RH pour les agents, comme la révision du régime indemnitaire et le renforcement de la part socle. C’est la raison pour laquelle nous avons signé l’accord sur les carrières et rémunérations. Nous poursuivons ce travail fin avec le MESR pour assurer le suivi de sa mise en œuvre et pour que ces dispositifs bénéficient à tous les agents. »

C’est ce que déclare Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT, lors de la conférence de presse de rentrée universitaire, le 19/09/2022.

« Nous avons salué l’ouverture bienvenue de Sylvie Retailleau et allons nous en saisir pour faire avancer nos revendications dans l’intérêt des personnels. Nous espérons que cela se traduira en engagement pluriannuel pour l’enseignement supérieur sur le plan budgétaire, avec une augmentation du budget si nous voulons que les universités atteignent leurs objectifs. »

Selon Christophe Bonnet, secrétaire national, « cela fait des années que nous réclamons un plan d’emploi. Or, l’urgence se fait de plus en plus pressante avec des collègues en souffrance de faire toujours plus avec toujours moins. Nous sommes proches d’un moment de rupture dans les établissements ».

Face à l’annonce de la ministre d’une réflexion collective « pour que chacun se recentre sur son cœur de métier » et du recrutement de personnels pour aider les E-C dans leurs missions, il indique « être surpris » : « L’emploi d’enseignants-chercheurs est une urgence, variable en fonction des disciplines et établissements, mais il faut partir du terrain. Les métiers de support sont aussi en souffrance, mais ce ne sont pas les ingénieurs pédagogiques qui vont éviter d’avoir besoin de plus d’E-C. »

21 septembre

LesEchos

Hausses de salaires : les enseignants « dans le flou »

https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/hausses-de-salaires-les-enseignants-dans-le-flou-1794746 

« On est passés de 10 % pour tout le monde à de l’ordre de 10 % en moyenne », abonde Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT. « Dans le contexte économique actuel, la revalorisation des enseignants ne doit pas être minorée, ce serait un signal délétère », insiste-t-elle, en appelant à une revalorisation pluriannuelle.

Les milieux de carrière et « les trains qui passent »

Le sujet est explosif. « Les éléments de revalorisation ont toujours concerné les débuts de carrière, les enseignants en milieu de carrière ont l’impression de voir les trains passer et de rester à quai, c’est démotivant au possible », appuie Catherine Nave-Bekhti.

News Tank

Formation des enseignants : le Sgen-CFDT « très attaché à l’universitarisation et la masterisation »

« Nous sommes très attachés à l’universitarisation et la masterisation de la formation des enseignants. Ce sujet doit être traité par le MENJ et le MESR pour construire une formation de haut niveau et ne pas détruire un système qui doit au contraire être renforcé », déclare Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT, lors de la conférence de presse de rentrée universitaire, le 19/09/2022.

Elle réagit notamment aux propos du président de la République Emmanuel Macron devant les recteurs, le 25/08, qui indiquait son souhait de « reprendre à bras le corps le sujet de la formation des enseignants ». Il évoquait la possibilité de « s’engager dès le baccalauréat dans ce beau métier, d’avoir une filière qui est un peu fléchée, un peu accompagnée, valorisée, où on leur permet de consolider des savoirs fondamentaux qui seront indispensables pour exercer leur métier, les savoirs pratiques, mais aussi un parcours ad hoc ».

Selon elle, « aucune discussion n’est pour le moment enclenchée sur une éventuelle réforme de la formation initiale des enseignants, mais les personnels des Inspé sont exsangues. Nous attendons des discussions claires, car les discours sont à géométrie variable ».

À la question du déplacement du concours du premier degré en fin de L3, piste explorée par le MESR et le MENJ, elle répond : « Si nous déplacions le concours avant le master, celui-ci serait de fait très académique et disciplinaire, ce n’est donc pas une bonne solution sous cette forme. Cela signifie aussi que le Gouvernement est prêt à financer des stagiaires rémunérés pendant deux ans. La question du financement est cruciale ».

« Nous sommes contre la différenciation de la durée de formation entre le premier et le second degré. L’enjeu est de maintenir un haut niveau de formation en premier degré et de créer une culture commune entre les deux. »

22 septembre

News Tank

Inria : une « instrumentalisation des conflits d’intérêts par la direction » (syndicats)

« Les organisations syndicales dénoncent fortement l’instrumentalisation qui a été faite des conflits d’intérêts par la direction. » C’est ce que déclare l’intersyndicale SNCS-FSU, SNTRS-CGT et Sgen-CFDT d’Inria, dans un message commun envoyé aux personnels le 21/09/2022, dont News Tank a obtenu copie.

« Si la direction souhaite discuter du fonctionnement des instances, elle doit le faire de manière transparente, par la voie de la concertation : avec les organisations syndicales, avec les instances, avec les personnels ; non en se cachant derrière une « mission conflit d’intérêt », dont les conclusions et recommandations portent sur un sujet pour lequel elle n’avait pas reçu de mandat », ajoutent-ils.

« Notre conclusion est que ce rapport ne porte pas tant sur les conflits d’intérêts, dont il est écrit que la CE (commission d’évaluation, qui contribue à l’évaluation de l’activité des équipes-projets, au recrutement et à la promotion des chercheurs, et aux orientations scientifiques de l’institut) y est très vigilante, que sur un souhait de remise en cause de l’indépendance et du fonctionnement de cette même CE », estiment-ils.

Ils dénoncent « la violence subie par des agents élus comme nommés à la commission d’évaluation, qui, depuis un an, ont vu leur travail de membre de la CE dénigré sans possibilité de se défendre ». Les syndicats demandent « la reconnaissance et la réparation » de cette situation.

France Info

Education à la sexualité à l’école : les enseignants sont-ils suffisamment formés ?

« Si l’école ne le fait pas, qui le fera ? »

Un avis partagé par Elise Cherfix, responsable du suivi des enseignants du premier degré pour le Sgen-CFDT Orléans-Tours. « Il n’y a pas qu’à l’école, il y a aussi la sphère familiale, mais certaines familles sont plus pudiques que d’autres« , note-t-elle. L’enseignante insiste également sur la nécessité, pour les élèves, de voir leur professeur comme une personne référente et sérieuse sur le sujet.

L’éducation à la sexualité est importante à cet âge là, car le corps change. C’est important d’expliquer.

Elise Cherfix, du Sgen-CFDT Orléans-Tours

23 septembre

AEF

Baccalauréat : les syndicats contestent le calendrier et veulent « retravailler en profondeur » son organisation

« Atteinte à l’égalité des candidats » (Apses)

Quant à Alexis Torchet, secrétaire national du Sgen-CFDT contacté par AEF info, il estime que malgré la parution du calendrier, « rien n’est réglé ». Le syndicat demande en effet une « refonte globale de l’architecture » du bac.

AEF

Affaire Kai Terada : dénonçant une « répression syndicale », plusieurs syndicats quittent le CTMEN

L’intersyndicale dénonce une « atteinte à la liberté syndicale »

Les organisations syndicales FSU, Unsa Éducation, Fnec FP-FO, Sgen-CFDT, CGT Éduc’action, et Snalc, avec le soutien de SUD-Éducation (1), ont fait une déclaration commune, lors du CTMEN du 23 septembre, visant à dénoncer « les pratiques de répression syndicale ou d’atteinte à la liberté syndicale ». Elles exigent l’annulation de la décision du rectorat de Versailles de muter Kai Terada. Selon l’intersyndicale, l’absence de réponse du ministre de l’Éducation sur la mutation « dans l’intérêt du service » du professeur de mathématiques est « inacceptable compte tenu de la gravité en termes de répression syndicale que constitue la mesure prise à [l’]encontre » de l’enseignant.

DNA

Au tour du Sgen-CFDT de dresser un bilan négatif de la rentrée scolaire

Manque d’encadrement socio-éducatif, pénurie d’enseignants et de personnels administratifs, ainsi que de moyens pour l’inclusion scolaire… C’est au tour du Sgen-CFDT de dresser le bilan plutôt négatif de la rentrée.

Seul motif de satisfaction du Sgen-CFDT Alsace en cette rentrée scolaire : « L’absence, pour l’instant, de contraintes sanitaires. » Mais le syndicat s’inquiète d’un « contexte socio-économique très dégradé » et des conséquences tant sur les familles « les plus démunies » que sur les personnels, sans oublier « les effets néfastes de la période Covid sur les compétences scolaires ». D’autant plus, estime le secrétaire général Laurent Gomez,  » que l’Éducation nationale n’est pas en capacité de prendre en compte ces difficultés, tout est à flux tendus. »

L’Alsace

Pour le Sgen-CFDT, « l’Éducation nationale doit sortir de sa bulle »

Manque d’encadrement socio-éducatif, pénurie d’enseignants et de personnels administratifs, ainsi que de moyens pour l’inclusion scolaire… C’est au tour du Sgen-CFDT de dresser le bilan plutôt négatif de la rentrée.

Seul motif de satisfaction du Sgen-CFDT Alsace en cette rentrée scolaire : « L’absence, pour l’instant, de contraintes sanitaires. » Mais le syndicat s’inquiète d’un « contexte socio-économique très dégradé » et des conséquences tant sur les familles « les plus démunies » que sur les personnels, sans oublier « les effets néfastes de la période Covid sur les compétences scolaires ». D’autant plus, estime le secrétaire général Laurent Gomez, « que l’Éducation nationale n’est pas en capacité de prendre en compte ces difficultés, tout est à flux tendus. »

SUD Education

Halte à la répression syndicale ! Pour le respect de la liberté syndicale Kai Terada doit être réintégré sur son poste sans délai ! – Communiqué SUD-CGT-FO-FSU
Lors du CTMEN de ce vendredi 23 septembre, Les organisations syndicales FSU, UNSA éducation, FNEC-FP FO, SGEN CFDT, CGT Educ’action, SNALC – avec le soutien de Sud Education – ont fait une déclaration commune dénonçant avec la plus grande fermeté les pratiques de répression syndicale ou d’atteinte à la liberté syndicale et exigeant l’annulation de la décision de la rectrice de Versailles de muter d’office Kai Terada, professeur de mathématiques au Lycée Joliot-Curie de Nanterre et militant syndical départemental Sud Éducation.

26 septembre

AEF

Réforme de la voie professionnelle : l’intersyndicale appelle à la grève le 18 octobre

À ce jour, seuls le Sgen-CFDT et la FEP-CFDT y sont absents.

News Tank

Lycée professionnel : appel à la grève le 18/10 pour le retrait du projet de réforme

« La réforme est à l’opposé de nos ambitions, c’est pourquoi nos organisations appellent à une journée de grève le 18/10/2022, point de départ de la mobilisation pour obtenir le retrait de ce projet ». C’est ce qu’indiquent les organisations syndicales représentatives du second degré, à l’exception du Sgen-CFDT, le 23/09.

Le Café pédagogique

L’enseignement professionnel s’unit contre le projet d’E Macron

A l’exception du Sgen Cfdt et de la Fep Cfdt, c’est tout l’enseignement professionnel qui est mobilisé contre le projet de réforme porté par E Macron.

Le Café pédagogique

Kai Terada : Les soutiens impliquent Pap Ndiaye

Une volonté de reprise en main du lycée

Le 23 septembre, en comité technique ministériel, la quasi-totalité des syndicats enseignants (Fsu, Unsa, Fnec FO, Sgen Cfdt, Cgt et Snalc) ont fait une déclaration commune dénonçant la répression syndicale et demandant l’annulation de la décision de la rectrice de Versailles.

Ouest France

Manche. Le syndicat enseignant Sgen-CFDT et l’urgence climatique

​Dans sa conférence de rentrée, le syndicat enseignant de la Manche Sgen-CFDT, outre le manque de moyens, s’est penché sur la prise en compte de l’urgence climatique et les coûts énergétiques.

Quel impact du coût de l’énergie sur les conditions d’apprentissage des élèves ?

Le Sgen-CFDT s’interroge aussi quant au ramassage scolaire. « Le pédibus à Saint-Lô ne fonctionne pas car c’était à la charge des familles. Comme le ramassage par bus, cela devrait être du ressort de la mairie : cela exige un meilleur aménagement qui peut servir l’intérêt de l’enfant (activité physique, sécurité routière) et avoir intérêt écologique fort. » Le Sgen-CFDT verrait bien aussi un véritable encouragement à développer le déplacement à vélo des élèves « sous réserve que les établissements scolaires soient vraiment accessibles. »

27 septembre

AEF

Hausse du point d’indice : le Sgen-CFDT déplore la non-compensation pour 2022

Le Sgen-CFDT demande la compensation de la hausse du point d’indice pour 2022, « dans un contexte où la situation financière des établissements d’ESR est extrêmement précaire, notamment face à la hausse drastique du coût des fluides », le 27 septembre 2022.

En outre, il déplore que dans l’ESR, la hausse du point d’indice « tarde à être appliquée à tous les agents qui devraient en bénéficier », à savoir :

  • « aux fonctionnaires titulaires et stagiaires ;
  • aux contractuels dont la rémunération est exprimée en référence au point d’indice ;
  • aux contractuels dont la rémunération est fixée en € ;
  • aux primes et indemnités dont le montant était indexé sur le point d’indice au moment de leur attribution ;
  • à tous les doctorants contractuels, en sus des revalorisations décidées dans le cadre de la LPR ;
  • aux heures complémentaires, qu’elles soient assurées par des titulaires ou par des vacataires ».

News Tank

« La hausse du point d’indice au premier juillet 2022, quoi qu’insuffisante, était un rattrapage indispensable pour le pouvoir d’achat des agents. Dans l’enseignement supérieur et la recherche, toutefois, elle tarde à être appliquée à tous les agents qui devraient en bénéficier », indique le Sgen-CFDT, le 27/09/2022.

Le syndicat liste les personnels concernés par cette hausse, en plus des fonctionnaires titulaires et stagiaires :
• « Les contractuels dont la rémunération est exprimée en référence au point d’indice ;
• les contractuels dont la rémunération est fixée en euro (conformément à l’engagement pris par le ministère de la fonction publique à la demande de la CFDT fonction publique) ;
• les primes et indemnités dont le montant était indexé sur le point d’indice au moment de leur attribution ;
• tous les doctorants contractuels, en sus des revalorisations décidées dans le cadre de la loi de programmation de la recherche ;
• les heures complémentaires, qu’elles soient assurées par des titulaires en sus de leurs obligations réglementaires de service ou par des vacataires. »

Sur la compensation par l’État annoncée dans le projet de loi de finance pour 2023 « à hauteur de 500 M€ pour l’ensemble des établissements de l’enseignement supérieur, de la recherche et des Crous », le Sgen-CFDT indique prendre acte : « Il demande cependant que soit actée la compensation de la totalité de la dépense concernée pour les établissements, y compris, de manière rétroactive, les dépenses engagées depuis le 01/01/2022 », ajoutant « ne pas accepter que ces charges viennent grever le budget des établissements ».

30 septembre

L’étudient

La hausse de 1,1 milliard d’euros du budget 2023 pour l’enseignement supérieur, suffisante ?

Une augmentation « en trompe-l’œil », selon le Sgen-CFDT puisqu’elle reste inférieure à l’inflation. « Globalement, c’est très décevant. Nous arrivons à des années de vache maigre alors que les collègues sont déjà à bout après des années de manque de moyens. Nous fonctionnons depuis des années avec des moyens humains très insuffisants face à l’augmentation des missions des établissements et du nombre d’étudiants et on nous dit de continuer comme ça », pointe Christophe Bonnet, le secrétaire national du syndicat.

Impact du point d’indice sous-estimé selon les syndicats

Une hausse sous-estimée de 10%, selon Christophe Bonnet, secrétaire national du syndicat Sgen-CFDT au secteur enseignement supérieur et recherche publique. « Il manque 50 millions car plusieurs éléments n’ont pas été pris en compte. L’augmentation du coût des heures supplémentaires notamment, qui sont aussi indexées sur le point d’indice. Et des contrats d’enseignants et de BIATSS (personnels des bibliothèques, ingénieurs, administratifs, personnels techniques, sociaux et de santé, NDLR), en CDD et en CDI, dont le libellé est en euro et non en point », explique le représentant syndical.

 

 

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Besançon - Sgen-CFDT Franche Comté

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Bordeaux - Sgen-CFDT Aquitaine

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Créteil - Sgen-CFDT de l'Académie de Créteil

Sgen-CFDT - 11-13, rue des Archives - 94010 CRÉTEIL Cedex
Tel : 01.43.99.58.39
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Guyane - Sgen-CFDT Guyane

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Tel 2 : 06 61 42 38 23
Tel 3 : 06 72 17 33 22
E-mail : limoges@sgen.cfdt.fr
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Tel : 04.78.54.17.66
E-mail : lyon@sgen.cfdt.fr
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Martinique - Sgen-CFDT Martinique

SGEN CFDT - Maison des syndicats, boulevard du Général de Gaulle - 97200 FORT DE FRANCE
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Mayotte - Sgen-CFDT Mayotte - CISMA

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tél. : 06 39 01 41 06
Mél : mayotte@sgen.cfdt.fr
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Montpellier - Sgen-CFDT Languedoc-Roussillon

Sgen-CFDT - Maison des Syndicats, 474 allée Henry II de Montmorency - 34000 MONTPELLIER
Tel : 04 67 65 60 64
E-mail : montpellier@sgen.cfdt.fr
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Tel : 01.42.03.88.86
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Poitiers - Sgen-CFDT Poitou-Charentes

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Polynésie - Confédération TMAC-SGEN – A TI’A I MUA

TMAC-SGEN – A TI’A I MUA - Immeuble Galliéni, rue Clapier - BP 4523 - 98713 PAPEETE, TAHITI (Polynésie Française)
tél. 00 689 40 54 40 10
E-mail : syndicat_tmac@yahoo.fr
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Reims - Sgen-CFDT Champagne-Ardenne

Sgen-CFDT - Maison des Syndicats 15 Bd de la Paix BP 1368 - 51063 REIMS Cedex
Tel : 09 63 65 46 32
Fax : 03.26.77.69.99
E-mail : reims@sgen.cfdt.fr
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Rennes - Sgen-CFDT Bretagne - Breizh

Sgen-CFDT - 10 bd du Portugal - CS 10811 35208 RENNES CEDEX 2
Tel : 02.99.86.34.63
E-mail : bretagne@sgen.cfdt.fr
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La Réunion - Sgen-CFDT Réunion

Sgen-CFDT - 58, rue Fénelon - 97400 SAINT DENIS
Tel : 02.62.90.27.72
Fax : 02.62.21.03.22
E-mail : reunion@sgen.cfdt.fr
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Strasbourg - Sgen-CFDT Alsace

(Académie de Strasbourg)
à Strasbourg,
Sgen-CFDT - 305 avenue de Colmar BP 935 - 67029 STRASBOURG Cedex 1
Tel : 03 88 79 87 77 ou 03 88 79 87 61
E-mail : 67@sgen.cfdt.fr
à Mulhouse,
Sgen-CFDT - 1 Rue de Provence 68090 MULHOUSE CEDEX
Tél : 03 89 31 86 66
E-mail : 68@sgen.cfdt.fr
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Toulouse - Sgen-CFDT de l'Académie de Toulouse

Sgen-CFDT - 3 chemin du pigeonnier de la Cépière - Bât C 31100 TOULOUSE
Tel : 05.61.43.71.56
E-mail : toulouse@sgen.cfdt.fr
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Versailles - Sgen-CFDT de l'Académie de Versailles

Sgen-CFDT - 23 Place de l'Iris, 92 400 COURBEVOIE [MÉTRO ESPLANADE DE LA DÉFENSE]
tel : 01 40 90 43 31
E-mail : versailles@sgen.cfdt.fr
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Sgen-CFDT de l'Étranger

Pour les personnels travaillant à l'étranger :
AEFE, Instituts Culturels
47-49, avenue Simon Bolivar - 75950 PARIS Cedex 19
Tel : 01.56.41.51.20
Fax : 01.56.41.51.11
E-mail : etranger@sgen.cfdt.fr
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Sgen-CFDT Recherche - EPST

Campus de Villejuif - Bat. 1
7 rue Guy Moquet BP 8 94801 VILLEJUIF Cedex
Tel : 01.49.58.36.38 ou 01.49.58.36.66
E-mail : contact@epst-sgen-cfdt.org
Accéder au site internet

Sgen-CFDT des Administrations Centrales MEN et MESR

Pièce 162 110 rue de Grenelle 75007 Paris
Tel : 01 55 55 13 85
E-mail : sgencfdt.syndicat-ac@education.gouv.fr
Accéder au site internet

Syndicat National des Médecins de Santé Publique de l'Éducation Nationale

SNAMSPEN/Sgen-CFDT 47/49 avenue Simon Bolivar 75950 PARIS Cedex 19
Tel : 01 56 41 51 00
E-mail : snamspen@sgen.cfdt.fr
Accéder au site internet

Syndicat des Travailleurs de la Recherche Extra-Métropolitaine

Créé par des agents de l'IRD pour tout le personnel de l'IRD.
STREM-Sgen-Cfdt, IRD – Permanence STREM
911, avenue Agropolis BP 64501 34394 Montpellier
Tél : 33 (0)4 67 41 51 15
E-maill : strem-sgen-cfdt@ird.fr
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Site de l'Irea-Sgen-CFDT, Institut de recherches, d'études et d'animation

47-49, av. Simon Bolivar,
6ème étage
75950 Paris cedex 19.
Tél/fax. : 01 42 49 84 63
https://twitter.com/IreaSgenCfdt
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Espace militant

Le blog militant pour retrouver tous les outils indispensables à l'action syndicale..
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Site de la CFDT Fonctions Publiques

Le site de la CFDT Fonctions Publiques : pour tous les agents des trois Fonctions Publiques (État, territoriale et hospitalière).
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Site de la Fédération Formation et Enseignement Privés CFDT

Le site CFDT des personnels de la formation et de l'enseignement privé
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Le site de FGA-CFDT : les informations nationales.
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