Revue de presse
23 mars
FRANCE INFO
Des revendications à la pelle
La CDTG-CFDT relaie l’appel de la CFDT. Elle proteste contre le dialogue social tronqué. Elle appelle les agents publics de l’Etat, du secteur hospitalier et territorial à manifester devant la Préfecture de Guyane et Saint Laurent. Selon le syndicat, il s’agit de garantir de bonnes conditions de travail et de lutter contre les souffrances dans le milieu professionnel.
La FSU Guyane a également lancé un appel à la grève. Selon la Fédération syndicale unitaire, le gouvernement ne voit dans la gestion du service public qu’un moyen de faire des économies. Les fonctionnaires subissent des régressions dans leurs acquis sociaux. De plus je cite « chaque citoyen de Guyane doit avoir accès à la santé , l’eau potable , l’éducation , les transports , l’énergie la justice ».
Enfin , le SGEN-CFDT, appelle lui aussi à la mobilisation dans l’Education nationale. Les dotations affectées à l’Académie sont insuffisantes. Leurs répartitions ne sont pas équitables.
22 mars
CAFÉ PEDAGOGIQUE
Le CSE rejette les textes sur le bac
Le Sgen Cfdt , dans ses « 7 principes pour rater une réforme » met aussi en avant « un objectif initial qui ne dit rien de la politique visée », « un agenda absurde », « ne pas travailler en interministériel », pour ne pas avoir respecté le calendrier de Parcoursup.
17 mars
TOUTEDUC
ParcourSup, réforme du lycée : les candidatures, les inquiétudes des spécialistes, les interrogations et dénonciations de syndicats (brèves)
Le SGEN-CFDT demande à la ministre de l’enseignement supérieur « de rendre publiques les dotations attribuées par académie et par établissement » puisqu’elle affirme « avoir débloqué 25 millions d’euros pour la période de septembre à décembre 2018 », soit « plus de 1000€ par étudiant supplémentaire pour à peine plus de trois mois » tandis que « certains présidents d’université et certaines organisations syndicales affirment ne pas avoir les moyens financiers d’appliquer la loi Orientation et Réussite des Étudiants »… Et l’organisation syndicale d’ajouter : « Il y a obligatoirement un menteur dans l’histoire ! »
AEF
Financement de la loi ORE : le Sgen-CFDT demande au ministère de « jouer la transparence »
« Y a-t-il un menteur dans l’avion ? », s’interroge le Sgen-CFDT dans un communiqué, le 16 mars 2018, au sujet du financement de la loi ORE. « Certains présidents d’université et organisations syndicales affirment ne pas avoir les moyens financiers d’appliquer la loi ORE. Pourtant, la ministre affirme avoir débloqué 25 M€ pour la période de septembre à décembre 2018. Ce qui fait plus de 1 000 € par étudiant supplémentaire pour à peine plus de trois mois », fait remarquer le syndicat. Il réitère donc sa demande de « transparence » à Frédérique Vidal et réclame que soient rendues publiques « les dotations attribuées par académie et par établissement ». Pour rappel, les 25 M€ de moyens nouveaux doivent être répartis en trois blocs : 12 M€ pour les surcoûts d’enseignement, 7 M€ pour de l’investissement et 6 M€ pour financer les dépenses supplémentaires liées à la gestion des dossiers.
ACTU.FR
Manche : le directeur académique lâche du lest
Après la concertation de ce vendredi, le nombre de fermetures de classe reste important : 23 définitives et 11 conditionnelles. Pour ces dernières, un comptage aura lieu à la rentrée de septembre. Richard Viaux, du SGEN-CFDT, explique :
« Le CDEN a permis à certaines écoles de sauver leur situation, mais si l’on regarde globalement cette carte scolaire, rares sont les motifs de satisfaction. Le dédoublement des CP en REP et CE1 en REP + pèse lourd dans la balance puisque cette mesure s’effectue avec des moyens quasi constants. On ferme des classes pour permettre la mise en place de ce dispositif. »