Revue de presse
25 octobre
AEF
La candidature de Brigitte Pradin, directrice de l’établissement depuis fin 2014 , à sa reconduction à la tête de l’Institut national universitaire Champollion d’Albi recueille l’unanimité des voix du conseil d’administration, le 23 octobre 2017. La proposition du CA doit désormais faire l’objet d’un arrêté de nomination du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Si elle est confirmée, la prise de fonction de Brigitte Pradin sera effective au 1er janvier 2018 pour une durée de cinq ans. L’établissement bénéficie du statut d’EPSCP depuis le 1er décembre 2015 .
Brigitte Pradin est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’Insa Toulouse (1977). Elle obtient son doctorat (1979) et son HDR (2000) à l’université Toulouse-III Paul-Sabatier. Elle débute sa carrière d’enseignante à l’Insa Toulouse (1979-1984), puis rejoint Toulouse-III où elle devient professeure des universités en informatique industrielle et automatique au département GEII de l’IUT Paul-Sabatier (Toulouse).
Brigitte Pradin a exercé différentes responsabilités au cours de sa carrière. De 2000 à 2002, elle est directrice adjointe de l’IUT Paul-Sabatier. De 2002 à 2006, elle est VP Cevu à Toulouse-III ; de 2012 à 2014, VP déléguée aux relations interuniversitaires et à la politique de site. Brigitte Pradin est également impliquée au niveau du site toulousain : de 2009 à 2012, elle est directrice adjointe du département « formation vie étudiante » du PRES Université de Toulouse. De 2011 à 2014, elle est chargée de mission « réseau des sites » au PRES, puis à la Comue.
Brigitte Pradin est vice-présidente du conseil d’administration de l’Ensfea de Toulouse depuis 2011. De 2011 à 2015, elle est membre élu du Cneser pour le Sgen-CFDT dont elle est secrétaire fédérale. Depuis 2012, elle est membre du Ceser Midi-Pyrénées, devenu ensuite Ceser Occitanie. Depuis décembre 2016, elle est vice-présidente de la commission « vie étudiante et vie de campus » à la CPU
AEF
AEFE : la baisse du budget 2017 menace 500 postes d’enseignants détachés (Sgen-CFDT)
Le Sgen-CFDT dénonce « l’annulation de 33 M€ de crédits » du budget 2017 de l’Agence pour l’enseignement du français à l’étranger, qui « contraint l’AEFE a des mesures drastiques d’économies », dans un communiqué, le 25 octobre 2017. C’est « une grave menace qui fragilise l’AEFE », estime le syndicat. Selon lui, la contribution au budget de l’Agence demandée aux établissements en gestion directe a augmenté de 50 % et une « suppression » de « plus de 500 postes de détachés » est « envisagée ». Le Sgen demande que le budget de l’opérateur « soit revu à la hausse dans le cadre du PLF 2018 ». Un budget en hausse permettrait, selon lui, d’éviter « les déconventionnements d’établissements du réseau, l’augmentation des frais d’écolages à la charge des parents et la diminution de près de 8 % du nombre d’enseignants détachés annoncée ».
24 octobre
ToutEduc
Pourquoi la reforme du DNB (diplome national du brevet) ne satisfait pas les enseignants.
Plusieurs organisations, UNSA (A&I, SE, SIEN), CFDT (SGEN et FEP), FCPE, FAGE, UNEF et SGL ont fait une déclaration commune dans laquelle elles considèrent que le ministère se saisit des difficultés mises en évidence lors de la première session du DNB cette année pour proposer « des réponses qui sont autant de renoncements à avancer vers un diplôme en phase avec les compétences du socle commun ». Elles dénoncent « une conception malthusienne des diplômes »
23 octobre
AEF
Comment les personnels de direction conçoivent-ils l’autonomie des EPLE ? Éléments de réponse avec une enquête Casden
Intervenant lors d’une table ronde à l’occasion de la présentation de l’étude, Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT, estime que la question du recrutement des personnels par les chefs d’établissement « soulève d’autres enjeux ». « Recruter, mais encore faut-il en avoir le vivier », souligne-t-elle, évoquant la pénurie d’enseignants titulaires dans le 1er degré.
À court terme, le Sgen-CFDT est défavorable à la fusion des corps d’encadrement et veut mettre en exergue les questions du « pilotage partagé », de la « convergence d’une culture professionnelle » et de la « mobilité entre les corps ». « Penser la fusion avant de clarifier les fonctions ça ne marchera pas », affirme Catherine Nave-Bekhti.
22 octobre
LES ECHOS
FAGE et UNEF veulent chacun que le bachelier ait le dernier mot, tout comme certains syndicats enseignants (SNESUP-FSU et Sgen-CFDT).
L’ETUDIANT
Le Sgen-CFDT et la Fage voient dans ce rapport une sortie de l’idée de la « sélection sèche ». « Nous ne sommes plus sur la logique que face au manque de places, il faut sélectionner », observe Jimmy Losfeld, le président de l’organisation étudiante.
« La question est maintenant de savoir si le dispositif d’accompagnement des bacheliers en difficulté est obligatoire ou non ? » relève Franck Loureiro, secrétaire général du Sgen-CFDT. « Et de ce qu’on fait pour la rentrée 2018. Le calendrier est trop court pour mettre en place tous ces changements pédagogiques. Il faudra dans un premier temps augmenter les capacités d’accueil dans les filières en tension », observe-t-il. La question du budget est de nouveau sur la table, alors que s’ouvre l’examen du PLF 2018.