Revue de presse.
16 novembre
AEF
Attentats de Paris : de nombreuses réactions de dirigeants et des organisations représentatives de l’ESR
Pour le Sgen-CFDT, « le plus urgent après les attentats, est de parler de ce qui s’est passé, mieux, de se parler, pour remettre du sens là où il y a encore la stupeur », explique Frédéric Sève, son secrétaire général.
AEF
Attentats : la communauté éducative appelle à rester « unis face à l’horreur »
« Le plus urgent, est de parler de ce qui s’est passé pour remettre du sens » même si « pour ceux qui accueillent les élèves et les étudiants, il n’est pas simple de trouver les mots », souligne le Sgen-CDT, alors qu’une minute de silence est organisée ce lundi dans les établissements scolaires
SGEN-CFDT. Frédéric Sève, le secrétaire général juge que « le plus urgent après les attentats, est de parler de ce qui s’est passé, mieux, de se parler, pour remettre du sens là où il y a encore la stupeur, pour témoigner de l’affection qui nous lie les uns aux autres ». Même si « pour ceux qui accueillent les élèves et les étudiants, il n’est pas simple de trouver les mots qui apaisent, qui rassurent, qui réconfortent – et qui aident à prendre la distance indispensable ».
« Les personnels de police et les personnels hospitaliers se sont dévoués corps et âme dans l’urgence et dans la violence. C’est maintenant notre tour à nous tous, personnels des services publics d’éducation et d’enseignement supérieur, mais également en tant que parents, amis, voisins, simples concitoyens, de manifester notre attachement mutuel qui nous donne le courage de rester debout face à l’adversité. »
15 novembre
[ToutEduc]
Attentats : les enseignants ont besoin de ressources, parents et organisations syndicales affirment leur solidarité
Pour le SGEN-CFDT aussi, « la vie continue, malgré la haine qui a déchiré Paris et Saint-Denis ». Certes, les mots seront « difficiles à trouver », mais les enseignants sont « confrontés à (leur) responsabilité dans la construction du lien social nécessaire à une société résiliente ». Après que les personnels de police et les personnels hospitaliers « se sont dévoués corps et âmes dans l’urgence et dans la violence », c’est, ajoute l’organisation syndicale, « notre tour à nous tous, personnels des services publics d’éducation et d’enseignement supérieur (…) de manifester notre attachement mutuel qui nous donne le courage de rester debout face à l’adversité ».
14 novembre
OUEST-FRANCE
Attentats de Paris. Réactions du Modem de la Manche et du Sgen-CFDT
Au Sgen-CFDT, on estime encore que » le message est clair : tout le monde est visé, quelle que soit sa religion, sa nationalité, ses convictions. Contrairement à janvier, où les morts étaient ciblés (un journal, des porteurs d’uniforme, des Juifs), il s’agit aujourd’hui d’une attaque contre la France et les valeurs qu’elle représente, une attaque contre l’Humanité. (…) L’objectif est visiblement d’essayer de faire peur, de déstabiliser une société, de nous monter les uns contre les autres. (…) La société française, toute la société, notre société démocratique et multiculturelle, doit résister à ceux qui ne supportent pas la liberté et la tolérance. Nous avons une responsabilité historique, pas seulement pour la France, mais pour les valeurs que nos prédécesseurs ont défendues, parfois au prix de leur vie. Le monde nous regarde : soyons unis et restons debout. »
OUEST-FRANCE
Attentats de Paris. La réaction du Sgen-CFDT de Basse-Normandie
A la suite des attentats survenus à Paris, le syndicat Sgen-CFDT de Basse-Normandie réagit
Le syndicat Sgen-CFDT (Education nationale) de Basse-Normandie réagit aux attentats perpétrés à Paris :
« Le message est clair : tout le monde est visé, quelles que soient sa religion, sa nationalité, ses convictions. Contrairement à janvier, où les morts étaient ciblés (un journal, des porteurs d’uniforme, des juifs), il s’agit aujourd’hui d’une attaque contre la France et les valeurs qu’elle représente, une attaque contre l’humanité.
Aucune idéologie, aucune religion ne peuvent justifier de tels actes. Ce n’est pas le nombre de morts, quelque inimaginable que puisse être le bilan actuel, qui importe aux terroristes ; c’est l’impact qu’il peut avoir sur nous.
Notre société démocratique et multiculturelle doit résister à ceux qui ne supportent pas la liberté et la tolérance. Nous avons une responsabilité historique, pas seulement pour la France, mais pour les valeurs que nos prédécesseurs ont défendues, parfois au prix de leur vie. Le monde nous regarde : soyons unis et restons debout. »