Revue de presse
Dernière nouvelle d’Alsace
Contre la fermeture de trois CIO
Soutenus par les syndicats Sgen-CFDT, Snes-FSU et Sud-Education, ils appellent aujourd’hui les collectivités locales à prendre le relais du Conseil départemental. Une pétition vient d’être mise en ligne (http://urlz.fr/4FBm)
19 janvier
Courrier Picard
La répartition des postes pour la rentrée scolaire de 2017 se précise« Le département de l’Oise reste sous-doté », note ainsi le SGEN-CFDT, sachant que le ratio P/E (postes pour 100 élèves) dans ce département est de 5,48, contre 5,62 en moyenne académique.17 janvier
RMC
Contrôle continu : Interiew de Alexis Torchet : à partir 32 min 55
LE MONDE
Primaire à gauche : les candidats promettent des milliards pour l’université
Bien que ces 5 000 postes ne se soient pas traduits par autant de personnes en plus devant les étudiants et dans les labos : étant donné les difficultés budgétaires des universités, seuls 60 % auraient été créés, d’après le SGEN-CFDT.
L’ETUDIANT
Tirage au sort à l’entrée de l’université : un projet d’arrêté qui relance la polémique
Une demande proche de l’amendement que compte proposer le Sgen-CFDT lors de l’examen du texte au Cneser : « les critères utilisés prennent vaguement en compte la motivation [des candidats] avec l’ordre des vœux mais absolument pas leurs compétences », regrette Christine Barralis, secrétaire fédérale du Sgen-CFDT. D’où la proposition du syndicat de rendre prioritaires « les 10 % d’élèves de chaque filière de chaque lycée ayant obtenu les meilleurs résultats au bac ».
LE MONDE
Ce qui n’empêche pas de grandes déceptions. Pour le SGEN-CFDT, la revalorisation du salaire des jeunes maîtres de conférences en début de carrière aurait mérité un effort bien plus grand. Au premier échelon, un maître de conférences touchera 2 208 euros bruts mensuels, contre 2 115 euros actuellement. « Après au minimum huit ans d’études pour décrocher un doctorat, plusieurs années en contrat de post-doc et un parcours du combattant pour trouver un poste, avec une carrière qui ne débute donc pas avant 32 ou 33 ans, le métier ne risque pas de retrouver l’attractivité dont il a besoin », déplore Franck Loureiro. Sans compter des premières années à l’université de plus en plus difficiles, avec une explosion de l’effectif étudiant, des budgets serrés, et une multiplication des tâches à accomplir, notamment administratives, pour ces jeunes enseignants-chercheurs.
AEF
LA CROIX
LE JOURNAL LA MARSEILLAISE
Jean-Marc Angeletti, secrétaire de la section Sgen-CFDT du lycée général et technologique Saint-Exupéry, et Corinne Châmes, secrétaire de la section Sgen-CFDT du lycée professionnel Colbert, tous deux enseignants de lycées en éducation prioritaire de Marseille ont rédigé une lettre ouverte aux candidats à la présidentielle intitulée « Notre sort vous intéresse-t-il ? ».
Ils évoquent les menaces qui pèsent sur le devenir des lycées de l’éducation prioritaire, pour lequel la ministre de l’Éducation a renvoyé au prochain quinquennat une « carte élargie » des établissements. Et demandent « comment assurer dans ces futures conditions nos missions ? »
« La fin de l’éducation prioritaire met à mal les valeurs républicaines dans une certaine indifférence », poursuivent les auteurs, qui réclament la constitution d’un groupe de travail visant à poser les bases d’une carte élargie prenant en compte les réalités du terrain et des critères objectifs et transparents.
6 janvier
L’ETUDIANT
1. Qu’est-ce qu’un BTS ?
3. Comment choisir son BTS ?
« D’abord, déterminez vos centres d’intérêts, et ayez une idée fiable des emplois possibles et des débouchés après la formation », assure Vincent Bernaud.
« Pour la filière industrielle, certaines comme la Franche-Comté, l’Occitanie ou la Nouvelle Aquitaine sont très porteuses d’emploi et les entreprises viennent vous chercher avant même la fin de vos études », explique Vincent Bernaud.
5. Comment réussir son BTS ?
« Il ne faut toutefois pas négliger le travail personnel, la rédaction des projets, des rapports de stage », ajoute Vincent Bernaud.
TOUTEDUC
Lycées et éducation prioritaire : satisfaction de l’intersyndicale, l’analyse du SGEN-CFDT
Pour sa part, l’OZP (Observatoire de l’éducation prioritaire) rappelle que le conseil fédéral du SGEN-CFDT a voté le 2 décembre, à l’unanimité une motion considérant que les principes de l’éducation prioritaire « doivent se prolonger au-delà de la scolarité obligatoire et notamment au lycée ». Il ajoute que « les personnels des lycées en éducation prioritaire se sentent doublement oubliés par la refondation de l’École engagée par ce gouvernement », même si, parmi les annonces de la ministre figurent « deux revendications » que portent l’organisation syndicale, « l’allocation de moyens spécifiques et la construction d’un référentiel pédagogique qui prolonge celui des réseaux d’éducation prioritaire REP/REP+ ». Elle demande « une réactualisation d’urgence de la liste des lycées concernés par ces mesures de façon à sécuriser et stabiliser les personnels », mais aussi une réflexion sur « la carte scolaire et les règles d‘affectation pour favoriser une réelle diversité sociale dans chaque établissement, et inciter à la généralisation des lycées polyvalents ».
LES ECHOS
Il faut notamment « distinguer les démissions pendant l’année de stage des démissions ultérieures », confie Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT. « Certains enseignants quittent leur métier non pas par répulsion mais parce qu’ils ont un autre projet professionnel et qu’être enseignant n’est pour eux qu’un moment dans leur carrière professionnelle », prévient-elle.